14 février 2009 6 14 /02 /février /2009 17:25

Le baiser de l'Hôtel de ville, Paris, 1950 Reproduction encadrée par Robert Doisneau





Le baiser de l'Hotel de ville.Doisneau Robert - Les Amoureux


Robert Doisneau est probablement le photographe français le plus connu dans le monde entier notamment grâce à des photos comme « le Baiser de l'hôtel de ville ». Ses photographies noir et blanc des rues de Paris d'après guerre et de sa banlieue ont fait sa renommée...

Doisneau est un passant patient qui conserve toujours une certaine distance vis-à-vis de ses sujets. Il guette l'anecdote, la petite histoire. Ses photos sont souvent empreintes d'humour mais également de nostalgie, d'ironie et de tendresse.

Il travaillait sur Paris, ses faubourgs et ses habitants  : artisans, bistrots, clochards, gamins des rues, amoureux, bateleurs, etc. Il enregistra pendant près d'un demi-siècle des milliers de portraits du petit peuple de Paris.

Il a participé au Groupe des XV aux côtés de René-Jacques, de Willy Ronis, de Pierre Jahan, dans les années 1950.

 

Robert Doisneau (14 avril 1912 - 1er avril 1994) était un photographe français, parmi les plus populaires d'après-guerre, qui fut, au côté de Willy Ronis et d'Édouard Boubat l'un des principaux

Robert Doisneau est né en 1912, un 14 avril, à Gentilly, dans une famille bourgeoise. Il étudie les Arts graphiques à l’école Estienne et obtient son diplôme de graveur et de lithographe en 1929. Un an plus tard, il réussit à intégrer l’Atelier Ullmann en tant que photographe publicitaire. En 1931, Robert Doisneau devient l’opérateur d’André Vigneau où il découvrira la Nouvelle Objectivité photographique. C’est en 1932, qu’il vend son premier reportage photographique, qui sera diffusé dans l’Excelsior. En 1934, Renault de Boulogne-Billancourt, l’embauche comme photographe industriel, Robert Doisneau, étant trop souvent absent se fait licencier cinq ans plus tard, en 1939. Désormais sans emplois, il décide et tente de devenir photographe illustrateur indépendant.

Robert Doisneau rencontre, pendant La Seconde Guerre mondiale Charles Rado, le fondateur de l’agence Rapho. C’est ainsi que Doisneau devient photographe indépendant, en intégrant, en 1946, l’agence de photographie Rapho, qu’il ne quittera plus. Il se mit alors à produire et réaliser de nombreux reportages photographiques sur des sujets très divers : l’actualité parisienne, le Paris populaire, des sujets sur la province ou l’étranger (URSS, États-Unis, Yougoslavie,…). Certains de ses reportages paraîtront dans des magazines comme Life, Paris Match, Réalités, Point de Vue, Regards, etc.

En 1947, il rencontre Robert Giraud, chez l'antiquaire Romi, c’est alors le début d'une longue amitié et d'une fructueuse collaboration. Doisneau publiera une trentaine d’albums dont La Banlieue de Paris, avec des textes de Blaise Cendrars, en 1949. Il travaillera un temps pour Vogue, de 1949 à 1952.

Son travail de photographe sera récompensé à diverses reprises : le Prix Kodak en 1947, le Prix Niepce en 1956. En 1960, Doisneau monte une exposition au Musée d'art contemporain de Chicago. Il recevra encore quelque prix pour son travail, le Grand Prix National de la Photographie en 1983 et le Prix Balzac en 1986. En 1992, Doisneau fait une rétrospective au Musée d'art moderne d'Oxford. Ce sera sa dernière exposition, puisqu’il décède à Montrouge en Avril 1994. Doisneau est enterré à Raizeux, aux côtés de sa femme.

 

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5 février 2009 4 05 /02 /février /2009 13:09

Fichier:Lady GaGa.jpg 



Lady GaGa, de son vrai nom Stefani Joanne Germanotta (née le 20 mars 1986) chanteuse et auteure-compositrice américaine de New-York aux origines italiennes. Elle s'est fait connaitre avec les titres Just Dance, Poker Face, Beautiful, Dirty, Rich et Love game.

Lady GaGa est fan de Queen d'où l'origine de son nom qui est tiré de la chanson Radio Ga Ga.

Lorsque Lady GaGa était petite, elle ne savait pas « si [elle] voulait être danseuse, chanteuse ou actrice ».

C'est à l'âge de 14 ans que Lady Gaga commence à chanter dans des bars de New York, jusqu'à récemment encore. Elle a été serveuse ou encore brièvement gogo danseuse « pour arriver à joindre les deux bouts ».

En 2008, on la découvre dans "Just dance" en featuring avec Akon et Colbis O'donis, puis elle sort un deuxième single "Poker face" et On peut la redécouvrir dans "Love game" Ou "Boys Boys Boys".

Lady GaGa est comparée à la chanteuse Gwen Stefani, même coupe de cheveux lors de l'album The Sweet Escape et surtout pour son ton de voix qui lui ressemble énormément. On la compare également à Christina Aguilera, surtout dans le clip Just Dance.

On ne peut également s'empêcher de voir en Lady Gaga la nouvelle Madonna

Le 4 juillet 2008, le bloggeur Perez Hilton organise une soirée dans une discothèque privée de Los Angeles où Lady GaGa donne ce soir là un concert, elle définit ses performances sur scène comme « très différentes et très novatrices ».

Pour la promotion de son premier album, elle interprète sa chanson Just Dance au concours Miss Univers 2008. Il s'agit alors de son premier passage à la télévision. Elle apparait également dans l'émission So you think you can dance ((fr) : Alors, vous pensez que vous pouvez danser) diffusé sur la Fox le 31 juillet 2008. Par la suite, la chanson Beautiful, Dirty, Rich est utilisée dans la vidéo promotionnelle de la série Dirty Sexy Money de ABC..

Lors d'une interview avec Métro Canada, Lady GaGa a déclaré « Dans un an, nous nous retrouverons dans ce même pub, les gens parleront encore de moi, et même mieux, je serai plus connue que jamais. ».

Dès septembre 2008, Lady GaGa devrait animer une émission musicale intitulé The NewNowNext PopLab qui signifie Le Laboratoire pop du Nouveau-Maintenant-Suivant.

Lady GaGa fut nominée au MTV Video Music Award 2008, dans les catégories Révélation de l'année et Meilleur clip, cependant elle ne remportera aucun prix.

Son deuxième single, Poker Face est diffusé à partir du 23 septembre 2008 dans le monde.

Suite à la sortie de son premier album, elle a été interviewée le 26 novembre 2008  par le site américan SuicideGirls.

 


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4 février 2009 3 04 /02 /février /2009 19:33

           


Alfred Bernhard Nobel
, (24 octobre 1833 à Stockholm, Suède - 10 décembre 1896 à San Remo, Italie) est un chimiste, industriel et fabricant d'armes suédois. Inventeur de la dynamite, il possédait l'entreprise d'armement Bofors. Dans son testament, il légua son immense fortune en vue de la création du Prix Nobel. L'élément chimique nobélium fut nommé ainsi en son honneur.

Alfred Nobel est un descendant d'Olof Rudbeck (1630-1702), scientifique du XVIIe siècle et le troisième fils d'Emmanuel Nobel (1801-1872). Né à Stockholm, il déménage à l'âge de 9 ans avec sa famille pour Saint-Pétersbourg où son père, qui avait inventé le contreplaqué, monte une entreprise de mines marines. En 1859, ce dernier laisse l'entreprise à son deuxième fils Ludvig Nobel (1831-1888), qui l'agrandit considérablement.

Après la faillite de l'entreprise familiale, Alfred part pour l'Amérique avec son M7RE, où il se dédie entièrement à l'étude des explosifs et en particulier à l'utilisation et la commercialisation sécurisée de la nitroglycérine (découverte en 1847 par Ascanio Sobrero, un de ses camarades de classe, sous la direction de leur maître Théophile-Jules Pelouze à l'Université de Turin).

Durant des siècles, la poudre à canon est restée le seul explosif puissant. En 1833 est découverte la nitrocellulose (par A. Sobrero) et, en 1846, la nitroglycérine. En 1871, Nobel fonde KemaNobel, une des entreprises à l'origine d'Akzo Nobel. Plusieurs explosions ont lieu dans l'usine familiale d'Heleneborg, dont une particulièrement désastreuse qui tue, en 1864, Emil, le jeune frère d'Alfred, ainsi que plusieurs employés.

Il s'attèle donc à rendre l'usage de la nitroglycérine moins dangereux, et est le premier à avoir réussi à maîtriser sa puissance explosive.

Nobel découvre que quand la nitroglycérine est mélangée à un solide inerte et absorbant appelé Kieselguhr (terre diatomacée), elle devient beaucoup plus sûre à transporter et à manipuler, et reste stable jusqu'à exploser sous l'effet d'un détonateur. Il fait breveter cette invention en 1867, sous le nom de dynamite.

Il l'utilise pour la première fois dans une carrière à Redhill, en Angleterre (Surrey).

Alfred Nobel a 40 ans réside à Paris (France) à partir de 1873 et, en 1881, il acquiert l'ancien château de Sevran en Seine-et-Oise (actuelle Seine-Saint-Denis). Dans son laboratoire français, il invente un nouvel explosif de puissance très supérieure à la dynamite. Composée de nitroglycérine (93%) et de collodion (7%), la « dynamite extra Nobel » (brevet de 1875) n'est autre que la dynamite gomme ou dynamite plastique (à ne pas confondre avec le plastic qui est un mélange d'hexogène et/ou de penthrite avec une huile et un plastifiant).

On dit que c'est la publication erronée par un journal français d'une nécrologie prématurée, condamnant son invention de la dynamite en 1888 qui le décide à laisser une meilleure image de lui au monde après sa mort. La nécrologie disait : « Le marchand de la mort est mort. Le Dr. Alfred Nobel, qui fit fortune en trouvant le moyen de tuer plus de personnes plus rapidement que jamais auparavant, est mort hier ».

En 1890, Alfred Nobel quitte la France pour s'installer dans sa villa située au bord de la Méditerranée, à Sanremo en Italie. Le 27 novembre 1895, au club suédo-norvégien de Paris, Nobel met un point final à son testament en laissant l'intégralité de sa fortune pour la création du Prix Nobel.

Il meurt le 10 décembre 1896 à Sanremo en Italie et est enterré au cimetière du nord à Stockholm.

 

ANECDOTE

Histoire de coeur

La légende prétend qu'Alfred Nobel aurait refusé d'honorer les mathématiques pour éviter que le prix revienne un jour à Gösta Mittag-Leffler, un mathématicien qui lui avait volé le cœur de sa maîtresse Sophie Hess.

En fait à l'époque personne ne lui connaissait de petite amie. Certains pensent qu'il n'a pas créé de prix Nobel de mathématiques car il en avait horreur ou qu'il ne trouvait pas cela intéressant. Cela dit, un prix dédié aux mathématiciens existait déjà et cela aurait fait doublon.

 
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4 février 2009 3 04 /02 /février /2009 13:38

Fichier:Bruce Springsteen 20080815.jpg
Bruce Springsteen
(né le 23 septembre 1949 à Long Branch et a grandi à Freehold dans l'état du New Jersey) est un chanteur et auteur-compositeur américain, surnommé « le Boss »

Un soir, alors qu'il regarde la télévision, Bruce tombe par hasard sur un concert du King, Elvis Presley. C'est une véritable révélation pour le jeune homme qui déclarera quelques années plus tard :"Elvis a libéré les corps alors que Dylan [Bob] a libéré les esprits...". Springsteen n'a alors plus qu'une idée en tête : se consacrer, corps et âme, à la musique.

Sa mère lui offre sa première guitare, achetée chez un prêteur sur gages. Désormais, le jeune homme passe des journées entières à composer et à gratter frénétiquement les cordes de sa guitare, malgré la réticence de son père. Néanmoins, Springsteen persévère et, après quelques essais en solo, il commence à se produire avec divers groupes dont les noms vont souvent varier: Dr. Zoom And the Sonic Boom, le Bruce Springsteen Band et Steel Mill.

Ses premiers pas dans l'univers du rock lui valent son célébrissime surnom : The Boss.

Il commença à enregistrer avec le E-Street Band en 1973. Devant le découvreur de talents, John Hammond (qui avait fait signer Bob Dylan un peu plus tôt), il interprète, à la guitare, quatre titres de sa composition, dont Growin' Up et It's So Hard To Be A Saint In The City. Dans la foulée, il signe un contrat pour un album avec la Columbia en 1972. Springsteen amena avec lui en studio de nombreux musiciens amis originaires comme lui du New Jersey. La plupart de ces derniers formèrent le E Street Band. Son premier album, Greetings From Asbury Park, New Jersey, sorti en janvier 1973, lui valut la faveur des critiques, bien que les ventes restèrent au plus bas. Manfred Mann et son Earth Band ont repris une chanson de cet album, Blinded By The Light pour en faire un tube. La même année, il sort The Wild, The Innocent and The E Street Shuffle, un album plus abouti que le précédent mais qui, encore une fois, ne rencontre qu'un succès local. Springsteen est sous pression. Son prochain album doit être un triomphe s'il souhaite poursuivre sa jeune carrière avec la Columbia...


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bruce springsteen "human touch"


Pourquoi "Le Boss"....... Le 28 mai 1977, après un procès de plus d'un an, Bruce Springsteen parvient à faire casser le contrat qui le liait à Mike Appel.
 Epaulé par Jon Landau, qui est désormais son manager, il a pris en mains la direction de sa carrière : il est devenu le “Boss”.

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23 janvier 2009 5 23 /01 /janvier /2009 17:11



Jo Raquel Tejada
plus connue comme Raquel Welch est une actrice américaine née le 5 septembre 1940 à Chicago, dans l'Illinois aux États-Unis.

Née d'un père bolivien, elle a fait son lycée à La Jolla, Californie jusqu'en 1957 : la dernière année elle gagne le concours Miss Fairest of the Fair à San Diego; avant ses vingt ans, elle avait décroché les titres de "Miss Photogenic", "Miss Contour" et "Miss Maid of California". Tout au long de sa carrière, elle a été célèbre pour sa beauté. Elle commence comme serveuse dans les coktails, mais obtient assez vite des rôles de jolie fille dans le cinéma.

Son contrat pour Cannery Row (1982) ayant été dénoncé, et alors qu'elle avait été remplacée par Debra Winger, elle fit un procès qu'elle gagna contre la MGM qui lui reversa 10 millions de dollars.

Elle a une résidence dans l'île de Moustique

 

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6 janvier 2009 2 06 /01 /janvier /2009 16:29

Vercingétorix

Dénonçant les visées coloniales de César, Vercingétorix fut le premier chef gaulois à pouvoir réunir, pour un même combat, la majorité d’un peuple divisé et remuant.

Comme en d’autres lieux Jugurtha ou Mithridate, Vercingétorix représente les efforts désespérés d’un peuple à la culture forte et active pour ne pas tomber sous la coupe de l’impérialisme romain.

Résistance

Le chef des Arvernes, Vercingétorix, était parvenu, avec l’aide du conseil des druides de toute la Gaule, à rassembler toutes les tribus mécontentes de l’attitude de César. Les accusations du Gaulois contre le proconsul romain étaient d’autant plus crédibles que durant six ans il l’avait suivi, avec ses troupes auxiliaires, dans sa lutte contre les Germains. Vercingétorix connaissait donc bien le fonctionnement de l’armée ennemie.

Eloquence

Il utilisa tout son savoir-faire pour convaincre les tribus que César n’était pas un allié, mais un ennemi cruel désireux d’asservir la Gaule. La simple évocation des victoires romaines contre les Germains, les Helvètes, les Belges, les Bretons avait fait comprendre à l’assemblée des chefs que la division politique était le plus sûr chemin vers la défaite lorsque l’on combattait César. Par ailleurs, le bilan humain était chaque fois si lourd que Vercingétorix n’eut pas de mal à démontrer la nécessité d’une guerre bien menée pour vaincre les Romains.

César eut le tort de donner raison à Vercingétorix : en 52, la population entière d’Avaricum fut massacrée par les Romains après la prise de la ville. Cela suffit à convaincre les plus tièdes, y compris ceux qui, dix ans auparavant, avaient sollicité l’intervention de César dans leur lutte contre les Germains. La Gaule entière se souleva contre lui.

Sacrifice

Au moment où César semblait avoir perdu la partie (il ne se déplaçait plus en Gaule que déguisé), le retour des vieilles querelles de tribus fit perdre du temps à Vercingétorix. Enfermé avec 30 000 guerriers à Alésia, il ne put desserrer l’étau romain, car ses renforts, même nombreux, étaient divisés. Vercingétorix se livra, en 52. En 46, il figura, enchaîné, au triomphe de César, puis fut étranglé dans son cachot peu de temps après.

Encerclement

En réalité, ce n’était pas Vercingétorix qui était assiégé à Alésia : les Romains vivaient à 30 000 entre deux palissades. L’une, entourant l’oppidum d’Alésia, empêchait les troupes de Vercingétorix de sortir loin de la place forte. L’autre défendait les Romains contre les attaques de l’avant-garde gauloise qui, dans les forêts alentour, préparaient l’arrivée de 250 000 guerriers venant du nord. Lorsque Vercingétorix se rendit, pour éviter que ses guerriers ne meurent de faim, il dut être surpris par l’état de faiblesse de ses vainqueurs.

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2 janvier 2009 5 02 /01 /janvier /2009 16:21

WALT DISNEY


A l’origine de la multinationale Walt Disney Company, que nous connaissons tous, se cache un passionné qui a voué sa vie à réaliser des films d’animation pour le grand public. Tantôt scénariste, réalisateur et producteur, Walt Disney a su donner vie à un monde imaginaire peuplé de créatures drôles et attachantes qui continuent, bien après sa mort, de faire rêver dans le monde entier.

Les débuts dans l’animation


Né le 5 décembre 1901 à Chicago, Walter Elias Disney, plus tard appelé Walt Disney, grandit dans une famille relativement modeste. Adolescent, il enchaîne les petits boulots et fréquente brièvement le Chicago Art Institute avant de s’engager à 16 ans comme ambulancier volontaire pendant la Première Guerre mondiale.

A son retour de la guerre, en 1919, Disney s’installe à Kansas City où il décroche son premier emploi dans le cinéma. Il fait ses débuts d’animateur, vendant notamment des films publicitaires à la Kansas City Film Ad Company. Il réalise également des courts-métrages, les Newman Laugh-O-grams, qu’il vend à la Newman Theater Company. Suite à leur succès, Disney fonde en 1922 sa propre compagnie : la Laugh-O-grams Inc pour produire des films d’animation réalisés d’après des contes populaires.

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Fondation du Walt Disney Studio


Après avoir la faillite de la Laugh-O-grams Inc en 1923, l’animateur reprend le même concept pour créer une nouvelle société, en partenariat avec son frère Roy Oliver : le Disney Brothers Studio, rebaptisé Walt Disney Studio en 1926. Leur premier succès, les Alice Comedies (1923-1927), s’inspire du conte de Lewis Caroll et mêle animation et prises de vue réelles. A partir de 1927, les  films d’animation mettant en scène Oswald le Chanceux Lapin prennent la suite. Cette série est un succès, mais des désaccords avec sa société de production poussent Disney à changer d’associés. Il doit alors créer un autre personnage pour remplacer le lapin, dont il n’a dès lors plus les droits.

L’arrivée du succès grâce à Mickey et ses amis


En 1928, Walt Disney a l’idée de créer une souris, attachante et optimiste, d’abord appelée Mortimer Mouse puis Mickey Mouse. Le coup de génie de l’animateur est alors d’expérimenter le Cinephone, un tout nouveau système de synchronisation sonore, pour faire du dessin animé Steamboat Willie, mettant en scène son nouveau personnage, le premier film d’animation avec son synchronisé. Mickey Mouse devient alors une vedette, de même que son créateur, qui lui prête son caractère et qui le double dans les films suivants, qui sont dès lors tous sonores.

En 1929, une nouvelle série d’animation est lancée : les Silly Symphonies. Celle intitulée Des arbres et des fleurs permet en 1932 de tester pour la première fois le procédé Technicolor et remporte l’Oscar du meilleur dessin animé.

Par ailleurs, Walt Disney crée de nouveaux personnages récurrents au début des années 1930 : Pluto (1930), Donald Duck (1934), Dingo… qui permettent d’enrichir les très nombreux courts métrages qui sortent alors.

Les premiers longs métrages d’animation


Walt Disney a toujours tenu, dès ses débuts, à être à la pointe de l’innovation en matière d’animation. Pour cela, il encourage l’expérimentation de nouvelles techniques au sein de ses studios. L’un de ses chercheurs invente ainsi à la fin des années 1930 une caméra multiplane qui permet de donner de la profondeur aux dessins animés. Cette technique est alors testée sur le nouveau projet de Disney : la réalisation du premier long métrage d’animation. L’oeuvre est tellement ambitieuse que les studios concurrents l’ont surnommée "la folie Disney". La création, commencée en 1934, sort au cinéma en 1938 sous le titre de Blanche-Neige et les sept nains.

Le film, d’une qualité inégalée, entièrement réalisé en Technicolor, est une consécration pour Disney. Ce succès ouvre la voie à la réalisation par le studio de nombreux autres longs-métrages d’animation tels que Pinocchio (1940), Fantasia (1940), Dumbo (1941), ou encore Bambi (1942).

Le développement et la diversification de la Walt Disney Company


Le studio Disney est réquisitionné pendant la Seconde Guerre mondiale pour réaliser des films d’animation et des documentaires destinés aux militaires. A la fin du conflit, la production de longs métrages reprend, avec les sorties, entre autres, d’Alice au pays des merveilles (1951) et de Peter Pan (1953).

Cependant, à partir de la fin des années 1940, les activités de la Walt Disney Company commencent à se diversifier. A cette époque, Walt Disney imagine la création d’un parc de loisirs. Il fonde alors une nouvelle filiale, la WED Entreprises, afin de travailler sur cette idée. Ce concept novateur aboutit en 1955 avec l’inauguration du parc Disneyland à Anaheim, en Californie.

Parallèlement à ce projet, Walt Disney s’intéresse dans les années 1950 à un nouveau média en pleine expansion : la télévision. Des contenus spécifiques sont alors créés pour y être diffusés. Il s’agit de films d’action (l’Ile au Trésor, 1950 ; 20 000 lieues sous les mers, 1954…), d’émissions (Une heure dans le monde merveilleux en 1950) et même d’un show quotidien, le Mickey Mouse Club, à partir de 1955. Des films éducatifs sont également produits, portant notamment sur la NASA, alors que la division « courts métrages » ferme en 1956.

Walt Disney meurt d’un cancer du poumon en 1966, alors qu’il était en train de travailler sur l’ébauche du futur Disney World, qui n’ouvrira ses portes qu’en 1971.


Bien qu’il ait initié la réalisation de nombre de documentaires, films d’aventure, émissions… Walt Disney reste principalement associé, dans la mémoire collective, aux dessins animés qui ont fait son succès dès les années 20. Il a laissé à sa mort un immense empire du divertissement, exploitant films, bandes dessinées, merchandising et parcs d’attraction à travers le monde.

source:Linternaute
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30 décembre 2008 2 30 /12 /décembre /2008 18:01
Marie Joseph Paul Yves Roch Gilbert Motier, marquis de La Fayette lafa.jpg (15447 octets)






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Marquis de La Fayette






















Né à Chavagnac en Auvergne le 6 septembre 1757, mort à Paris le 20 mai 1834, Gilbert Motier, marquis de La Fayette, est issu d’une famille noble de Chavaniac.

Il fait ses études au collège Louis-le-Grand, à Paris. puis sert dans l’armée française de 1771 à 1776, parvenant au grade de capitaine.

La Fayette se rend en Amérique et propose ses services. Par une résolution spéciale du Congrès, il reçut en 1777 le poste de général de division dans l’armée continentale. Il devint un intime de George Washington et membre de son état- major.   Il est blessé à la bataille de Brandywine, nommé commandant de division et combat à Monmouth.

À son retour en 1779, il est fêté comme un héros. A l’Assemblée des notables en 1787, il conseille l’adoption de l’édit sur les protestants. Il est élu député de la noblesse d’Auvergne aux États généraux et nommé, le 15 juillet 1789, commandant général de la milice parisienne, à laquelle il donne le nom de garde nationale et la cocarde tricolore, dont il est l’inventeur.

Partisan du veto suspensif pour le roi et du bicamérisme , il devient après les journées d’octobre 1789 le personnage le plus considérable de France, le « maire du palais », dira Mirabeau. La fête de la Fédération le 14 juillet 1790 marque l’apothéose de sa carrière révolutionnaire.

Homme de peu de caractère, La Fayette subit plus les événements qu’il ne les dirige, veut défendre la Révolution à la fois contre les aristocrates et contre les sans-culottes. Pour assurer le maintien de l’ordre, il fait voter la loi martiale et il s’imagine que le roi et la cour accepteront l’œuvre de la Constituante. Après la fuite à Varennes en 1791, il fait admettre, avec Barnave, Duport et les Lameth, la fiction de l’enlèvement, puis tire sur le peuple lors de la manifestation républicaine du Champ-de-Mars le 17 juillet 1791, ce qui lui enlève toute popularité.

Lors de la déclaration de guerre le 20 avril 1792, recevant le commandement de l’armée du Centre, il entre néanmoins en négociation avec les Autrichiens et, après le 20 juin 1792, il menace de faire marcher son armée sur Paris si de nouvelles atteintes sont portées à la majesté royale. Mis en accusation le 19 août 1792, il passe dans le camp autrichien, ou il est maintenu prisonnier jusqu’en 1797.

N’ayant joué aucun rôle pendant la période napoléonienne, il se rallie aux Bourbons en 1814. Lors des Cent-Jours, il se fait élire député de Seine-et-Marne, devient vice-président de la Chambre, puis participe, avec Fouché, à la déchéance de l’Empereur.

Membre actif de l’opposition libérale sous la seconde Restauration, il entre dans la conspiration groupant des bonapartistes et les républicains de la société des Amis de la vérité qui voulaient s’emparer du pouvoir par un coup de force prévu pour le 19 août 1820. ; Il participe également au premier complot de la charbonnerie [2] en décembre 1820

Il visite les États-Unis de 1824 à 1825, à l’invitation du Congrès qui lui fait don de 200 000 dollars et de grandes étendues de terres.

Retrouvant sa popularité de 1789-1790, les révolutionnaires lui eussent, volontiers, offert la présidence de la République, mais il se rallie à la solution orléaniste, intronise Louis-Philippe au balcon de l’Hôtel de Ville, reçoit de nouveau le commandement de la garde nationale lors de la Révolution de juillet, en 1830.

Louis-Philippe pour se débarrasser de lui, l’amène à démissionner de son commandement à la fin de décembre 1830. Déçu par ce qu’il avait salué comme « la meilleure des républiques » il se retire dans sa propriété de la Grange-Bléneau.

Il meurt le 20 mai 1834.

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16 décembre 2008 2 16 /12 /décembre /2008 20:05

 

Paul Verlaine est avant tout le poète des clairs-obscurs. L'emploi des rythmes impairs, d'assonances, de paysages en demi-teintes le confirme, rapprochant même, par exemple, l'univers des Romances sans paroles des plus belles réussites impressionnistes.


La famille de Verlaine appartient à la petite bourgeoisie : son père, comme celui de Rimbaud, est capitaine dans l'armée. Sa mère gardera longtemps sur la cheminée familiale les bocaux avec les foetus de ses fausses-couches.

Paul Verlaine naît en 1844 au 2 rue Haute-Pierre à Metz, d’un père capitaine dans l’armée comme celui de Rimbaud et d’Elisa-Stéphanie Dehée, native de Fampoux, dans le Pas-de-Calais. Au fil des garnisons, les Verlaine s’installent à Montpellier en 1845 puis à nouveau à Metz en 1848.

Le Paris de l’enfance et de l’adolescence de Verlaine se concentre sur la rive droite, plus précisément sur le quartier des Batignolles.

Ses parents arrivent dans la capitale en 1850, lorsque M. Verlaine obtient sa retraite de l’armée. Ils emménagent 10 rue des Petites-Ecuries, puis dans le quartier des Batignolles situé alors en-dehors de la capitale et apprécié des militaires en retraite. Ses parents veulent offrir les meilleures études à Paul.

Il va au catéchisme rue de Douai. Entre 1853 et 1862, il est interne à la pension Landry, 32 rue Chaptal et se rend bientôt quotidiennement au lycée Bonaparte (aujourd’hui Condorcet), rue Caumartin. Les parents Verlaine emménagent 28 rue Truffaut en 1857, puis 10 rue Nollet (appelée rue Saint-Louis jusqu’en 1864) en 1859 ou 1860. Après une bonne scolarité, Paul découvre à 16 ans Baudelaire et l’absinthe.

Paul Verlaine (en bas à gauche) et Arthur Rimbaud (à sa gauche). « Le coin de table » peint par Henri Fantin-Latour en 1872 - Musée d'Orsay de Paris.
Paul Verlaine (en bas à gauche) et Arthur Rimbaud (à sa gauche). « Le coin de table » peint par Henri Fantin-Latour en 1872 - Musée d'Orsay de Paris.

1863 : nouvel emménagement, 45 rue Lemercier. Paul effectue un stage de comptabilité chez un nommé Savouret, rue du Faubourg-Saint-Honoré, et trouve un emploi dans une compagnie d’assurances. Il réussit en mai 1864 un concours administratif et commence à travailler à la mairie du IXe arrondissement, rue Drouot, puis à l’Hôtel de Ville. Il fréquente le salon de la marquise de Ricard, 10 boulevard des Batignolles (et celui de Nina de Callias, 17 rue Chaptal, à partir de 1868).

Les Verlaine s’installent 14 rue Lécluse en 1865, à deux pas de la rue Nollet. La revue L’Art publie en novembre un grand article de Paul sur Baudelaire. Le capitaine Verlaine décède en décembre. Paul et sa mère vivent de 1866 à 1870 au 3e étage du 26 rue Lécluse.

De la rue Lécluse, il rend visite à Mathilde Mauté chez ses futurs beaux-parents, 14 rue Nicolet. Mathilde lui inspire La Bonne Chanson.

Paul Verlaine fait ses études à Paris au lycée Condorcet, puis, est employé à l'Hôtel de Ville. Il fréquente les cafés et salons littéraires parisiens puis, en 1866, collabore au premier Parnasse contemporain et publie les Poèmes saturniens. On y sent l'influence de Baudelaire, cependant que s'y annonce déjà l'« effort vers l'Expression, vers la Sensation rendue »[2] qui caractérise sa meilleure poésie. En 1869, les Fêtes galantes, des fantaisies évoquant le XVIIIe siècle de Watteau, confirment cette orientation. En 1870, il épouse Mathilde Mauté, à laquelle il vient de dédicacer La Bonne Chanson.

Paul Verlaine photographié par Dornac Musée Carnavalet de Paris.
 
Paul Verlaine photographié par Dornac Musée Carnavalet de Paris.

L'année suivante, Verlaine prend fait et cause pour la Commune de Paris, réprimée dans un bain de sang par le gouvernement d'Adolphe Thiers. Verlaine quitte Paris avec sa femme par crainte des représailles, et ce n'est que peu de temps après son retour à Paris, alors que le jeune couple est logé chez les parents de Mathilde, qu'Arthur Rimbaud surgit dans sa vie et vient la bouleverser. Verlaine quitte son épouse et part en compagnie du jeune poète pour l'Angleterre et la Belgique. C'est pendant ces voyages qu'il écrira une grande partie du recueil Romances sans paroles. En 1873, lors d'une dispute au domicile de sa mère à Bruxelles, il tire deux coups de revolver en direction de Rimbaud et le blesse d'une balle au poignet. Bien que Verlaine regrette immédiatement jusqu'à supplier Rimbaud de le tuer, ce dernier prend peur lorsque Verlaine le devance en pleine rue et qu'il porte sa main à son revolver. Rimbaud fuit et le dénonce à la police. Bien que Rimbaud ait retiré sa plainte, il est condamné à l'issue d'un procès relaté par la presse, à deux ans de prison, plus en raison de son homosexualité, alors condamnable, que de l'incident. Il les purge à Bruxelles et à Mons. Durant son séjour en prison, où il élabore la matière d'un recueil qui ne verra jamais le jour (Cellulairement), son épouse obtient la séparation de corps dont la procédure avait été lancée dès 1871. C'est en prison qu'il se convertit au catholicisme, au lendemain d'une nuit mystique. De cette conversion date probablement l'abandon de Cellulairement et l'idée du recueil Sagesse, qui profitera, avec Jadis et Naguère (1884) et Parallèlement (1888), d'une grande partie des poèmes du recueil mort-né. À sa sortie, il se rend à nouveau en Angleterre.

En 1883, il publie dans la revue Lutèce la première série des « poètes maudits » (Stéphane Mallarmé, Tristan Corbière, Arthur Rimbaud) qui contribue à le faire connaître. Avec Mallarmé, il est traité comme un maître et un précurseur par les poètes du symbolisme et par les décadents. En 1884, il publie Jadis et Naguère qui marque son retour sur l'avant-scène littéraire, bien que le recueil soit essentiellement composé de poèmes antérieurs à 1874. La même année, dans À Rebours, J.-K. Huysmans lui réserve une place prééminente dans le Panthéon littéraire de Des Esseintes. En 1885, dans les Déliquescences d'Adoré Floupette, G. Vicaire et H. Beauclair le consacrent officieusement chef d'école des Décadents. En 1886 il collabore à la Revue contemporaine d'Édouard Rod. À partir de 1887, alors que sa célébrité s'accroît, il plonge dans la misère la plus noire. Les productions littéraires de ses dernières années sont purement alimentaires. À cette époque, il partage son temps entre le café et l'hôpital. En 1894, il est couronné « Prince des Poètes » et doté d'une pension. Usé prématurément, il meurt en 1896, à Paris (à l'âge de 52 ans). Le lendemain de son enterrement, plusieurs quotidiens relatent un événement curieux : dans la nuit qui a suivi les obsèques, la statue de la Poésie, au faîte de l'Opéra, a perdu un bras qui s'est écrasé, avec la lyre qu'il soutenait, à l'endroit où le corbillard de Verlaine venait de passer...

Initialement, Paul Verlaine a été enterré dans la 20e division du cimetière des Batignolles à Paris (une zone qui se trouve actuellement en-dessous du boulevard périphérique). En 1989, sa tombe a été transférée dans la 11e division, en première ligne du rond-point central.

Tombe de Paul Verlaine
Tombe de Paul Verlaine

 

Œuvre 
L'histoire littéraire a consacré Verlaine comme le poète de la fadeur, des impressions indécises, rêvant d'une poésie qui serait un chant discret et doux. Son œuvre a été regardée essentiellement à la lumière de son Art poétique, composé dès 1874 mais publié en 1884, qui semble résumer et théoriser le mouvement symboliste, qui prend son essor depuis une dizaine d'années déjà

De la musique avant toute chose,
Et pour cela préfère l'Impair
Plus vague et plus soluble dans l'air,
Sans rien en lui qui pèse ou qui pose.

Reste que cet aspect original de l'œuvre de Verlaine ne doit pas en masquer la complexité : partagé toute sa vie entre le rêve et l'action, entre la marginalité et les velléités bourgeoises, il laisse en guise de testament un poème intitulé Mort ! où s'énonce une dernière fois ce tiraillement :

Armes, vibrez ! mains admirables, prenez-les,
Mains scélérates à défauts des admirables !
Prenez-les donc et faites signe aux En-allés
Dans les fables plus incertaines que les sables.
Tirez du rêve notre exode, voulez-vous ?
Nous mourrons d'être ainsi languides, presque infâmes !
Armes, parlez ! Vos ordres vont être pour nous
La vie enfin fleurie au bout, s'il faut, des lames. 

Source Wikipedia

À la promenade

    Le ciel si pâle et les arbres si grêles
    Semblent sourire à nos costumes clairs
    Qui vont flottant légers, avec des airs
    De nonchalance et des mouvements d'ailes.

    Et le vent doux ride l'humble bassin,
    Et la lueur du soleil qu'atténue
    L'ombre des bas tilleuls de l'avenue
    Nous parvient bleue et mourante à dessein.

    Trompeurs exquis et coquettes charmantes,
    Cœurs tendres, mais affranchis du serment,
    Nous devisons délicieusement,
    Et les amants lutinent les amantes,

    De qui la main imperceptible sait
    Parfois donner un soufflet, qu'on échange
    Contre un baiser sur l'extrême phalange
    Du petit doigt, et comme la chose est

    Immensément excessive et farouche,
    On est puni par un regard très sec,
    Lequel contraste, au demeurant, avec
    La moue assez clémente de la bouche.

Paul Verlaine

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27 novembre 2008 4 27 /11 /novembre /2008 00:44
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Citations

  Rives des songes.MFD.Jipé (2)

Parc du Chateau de la Motte TILLY

 

 

La reconnaissance vieillit vite.

Aristote 

 

J’ai fait un rêve dans le temps passé
Quand l’espoir était brillant
Et que la vie valait la peine d’être vécue
J’ai rêvé que l’amour ne mourrait jamais.
Les misérables

 

Pensées du jour

La patience guide l'espoir en terrain inconnu.
 
L'espoir est une lumière dans un océan de ténèbres.
 
BSS.CB.JP (13)
 
Quand il n'y a plus d'espoir il y a encore un petit espoir
 
 
 
 
 
 

Le champ du monde

 

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