8 septembre 2007 6 08 /09 /septembre /2007 12:48
GILLES DE RAIS ALIAS BARBE BLEUE

 

gilles_raisGilles de RAIS est né en 1404 au Château de Champtocé, il hérite d'un patrimoine énorme : terres, châteaux et seigneuries en Anjou et Poitou. A neuf ans, il perd sa mère et à dix ans son père disparaît. La tutelle sera confiée à son grand-père : Jean de Craon.

 

 

En 1422, par l'intermédiaire de son tuteur, il épouse officiellement un des plus riches partis du Bas-Poitou Catherine de Thouars Au mépris du droit et de l'honnêteté Gilles et son grand-père agrandissent encore leurs domaines et leur puissance. Une de leurs victimes Béatrice de Champtocé sera séquestrée au Château de Gilles dans un odieux cachot, persécutée et couverte de menaces allant jusqu'à la coudre dans un sac pour la jeter l'eau si elle ne renonce pas aux droits de sa naissance !

 

 

Puis, Gilles participe aux côtés de Jeanne d'Arc aux victoires sur l'anglais lors de la guerre de 100 ans. Il est présent en temps que noble vainqueur au sacre de Charles VII en la cathédrale de Reims où il est chargé de remettre la Sainte Ampoule du Sacre. Au lendemain de ce couronnement le roi lui manifeste sa gratitude en le nommant Maréchal de France à vingt cinq ans !

 

 

 

Mais Jeanne étant capturée à Compiègne, Gilles revient sur ses terres. Et c'est le retour à ses vieilles habitudes, pour nourrir son orgueil insatiable il va se ruiner en dons et en créations comme celle de sa collégiale ( chorale religieuse ) et surtout en fêtes somptueuses.

 

 

Pour assurer son train de vie, il vendra ses propriétés, ses meubles splendides et ses bijoux de famille ... Mais une chose le passionne plus que tout " la pierre philosophale " !

 

 

Des alchimistes sortis des plus sordides caves du royaume et de l'étranger vont se succéder au château de Gilles et lui feront découvrir les sciences sataniques : messes noires, sacrifices superstitieux d'enfants innocents, orgies sataniques et prières aux pouvoirs du mal représenté par Satan, mais pour rester bon catholique, il ajoute à ses prières  les noms du Père, du Fils et du Saint-Esprit, de la Vierge Marie et de tous les saints du paradis !

 

 

A la tête d'un clan d'assassins, Gilles de Rais tuait en chaque résidence qu'il possédait, Champtocé, la maison de Suze à Nantes et enfin les châteaux de Tiffauges et de Marchecoul. Gilles de Rais commis alors des crimes horribles et pervers sur de jeunes enfants.

 

 

 

1439 : Après la visite du Dauphin LOUIS XI, il n'hésite pas à séquestrer dans son château de Tiffauges, l'envoyé de Jean V, duc de Bretagne venu chez lui vérifier les plaintes accumulées contre le monstre.

 

 

Il sera pendu puis livré au flamme à Nantes, le 26 0ctobre 1440... Un an après, son épouse Catherine se remariera avec Jean II de Vendôme, vidame de Chartres et seigneur de Lassay.

 

 

Le corps de Gilles de Rais sera déposé en l’église de Notre Dame du Carmel de Nantes. 350 ans plus tard, les révolutionnaires détruiront son tombeau. Ainsi naquit la légende de Barbe Bleue......

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Source:wildduck7

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7 septembre 2007 5 07 /09 /septembre /2007 13:29

Jean SEGUREL

C'est au mois de décembre 1978, que le Limousin et l'Auvergne apprenaient avec stupeur la disparition, suite à un arrêt cardiaque de Jean SEGUREL, Chevalier de la Légion d'honneur (promu par le Général DE GAULLE en 1968), Sociétaire définitif de la SACEM, dans sa maison de Chaumeil en Corrèze, petit mais joli village situé au cœur du Massif des Monédières, pays qui vit naître les plus grands troubadours du Moyen-age et qu'il rendit célèbre par ses chansons surtout par la fameuse course cycliste du "Bol d'Or des Monédières" qu'il avait créée en 1952. Ce défenseur du folklore du Limousin et de l'Auvergne venait d'avoir soixante-dix ans.

Jean SEGUREL était l'un des plus célèbres et populaires accordéonistes, compositeur, chef d'orchestre, dix fois millionnaire du disque, auteur de plus de six-cents chansons, dont la plus célèbre crée en 1936 "Bruyères Corréziennes" inspirée à Jean SEGUREL par son parolier Jean LEYMARIE par la bruyère particulièrement belle et fleurie sur les flancs des Monédières. Cette chanson a fait le tour du monde et dont il enregistra six versions différentes sur disques tout au long de sa carrière. Celle datant de 1945 et enregistrée sur disques "Odéon" fut tiré à plus de 600 000 exemplaires, un record pour l'époque. 

Il est né le 13 octobre 1908 à Chaumeil, fils de paysans corréziens qui, pour arrondir leurs quelques revenus avaient ouvert à Chaumeil un café-auberge. Très jeune, Jean-Baptiste SEGUREL, que l'on surnommait familièrement "Baptistou" montra des dispositions pour la musique, ayant lui même confectionné un violon. Mais il connut sa plus grande joie lorsque son père lui donna vingt francs pour s'en acheter un vrai à Tulle. Il put alors accompagner ce dernier pour faire danser les gens du pays dans les bals et foires de la région. Le jeune "Baptistou" découvrit alors un instrument de musique qui était à lui seul un véritable orchestre "l'accordéon".A son retour du service militaire en 1929, ayant décidé de devenir accordéoniste, Jean SEGUREL fut remarqué par les trois frères "Maugein".

Il entama sa carrière de musicien en allant jouer dans des bals corréziens les jours de foire, puis dans les mariages, mais le plus souvent tout seul, la grosse caisse au pied. Dans les années 30, avec deux amis instituteurs, Jean LEYMARIE et Roger FAURE, il monta une petite formation qui allait connaître très vite le succès : Les "Troubadours Corréziens".Comme les auvergnats, beaucoup de corréziens s'étaient expatriés à Paris dès les années vingt. Parmi eux, le couple Gervais et Antonine GOURSOLAS, originaires de Saint-Augustin et fondateurs du groupe folklorique "Les chanteurs et Danseurs Limousins de Paris". Il présentèrent Jean SEGUREL à Martin CAYLA, alors pionnier du folklore du massif-central dans la région parisienne et qui avait fondé sa propre maison de disque "Le Soleil". 

 

C'est ainsi qu'en 1931, Jean SEGUREL grava son premier 78 tours, entamant ainsi une carrière discographique exceptionnelle qui ne devait s'achever que le 23 décembre 1978 date où il enregistra son dernier 33 tours, juste six jours avant sa mort. Ayant participé à l'exposition Internationale de Paris en 1937 au pavillon du Limousin, Jean SEGUREL fut sollicité par les Disques "Pathé", pour enregistrer sur de nouveaux disques ses compositions et des danses du folklore limousin. En 1939 "Polydor" lui demande de graver quatre nouveaux morceaux, mais un seul fut édité au printemps, car la guerre arriva en septembre et la firme étant Allemande fut mise sous séquestre.  

Jean SEGUREL et Robert MONEDIERE

Les trois autres disques ne furent fabriqués qu'en épreuves, mais jamais commercialisés, même pendant la période de l'occupation, les nazis ayant réinstallé la firme "Polydor" française.

Aussitôt démobilisé en 1940, Jean SEGUREL voulut reprendre son accordéon. Seulement, même en zone libre, le Gouvernement de Vichy avait interdit les bals tout en tolérant les représentations théâtrales, encourageant même les manifestations folkloriques. Jean SEGUREL put alors remonter une petite troupe composée d'artistes réfugiés en Corrèze, dont certains étaient connus comme les fantaisistes PERRIN, MOURIER, GOUDARD et Pierre DORIS et les accordéonistes Jean PREZ et Édouard DULEU que Jean SEGUREL hébergeait chez lui à Chaumeil. C'est ainsi que les nouveaux "Troubadours Corréziens" sillonnèrent pendant près de quatre ans le Limousin, l'Auvergne, et le Quercy. 

 

Jean SEGUREL à Radio Toulouse en 1942

La troupe se déplaçait à pied, à bicyclette, par le train ou dans une voiture à gazogène. Lorsque la libération arriva, en août 1944, Jean SEGUREL chercha de nouveaux partenaires pour remonter cette fois un véritable orchestre. Ce fut le déclic qui le mena au sommet de sa popularité. Engageant son compatriote l'accordéoniste Robert MONEDIERE, puis des musiciens comme Max DAUMONT, les chanteurs Roger VINCENT et, plus tard, André VAR, Jack ERHARD et Jo SONY, les "Troubadours Corréziens" animèrent bals et galas d'accordéons six jours sur sept pendant près de vingt-cinq ans. Jean SEGUREL préférait jouer dans de petites localités plutôt que des grandes villes, le plus souvent dans des arrière-salles  de café ou sur des parquets montés lors des fêtes votives.  

 

La place manquait mais, sa réputation aidant, une foule considérable allait s'y entasser afin d'essayer de danser dans des cohues indescriptibles. Malgré que la vague "yé-yé" des années 60 ait quelque peu entamé l'audience de l'accordéon, Jean SEGUREL continua à séduire les foules. Toujours entouré des meilleurs musiciens professionnels, il enregistra d'innombrables disques qui atteignirent en 1960 le chiffre d'un million d'exemplaires Les disques "Odéon" le récompensèrent en lui attribuant son premier disque d'or. La "C.B.S" ayant repris le catalogue en 1963 lui remit son sixième disque d'or en 1972. On estime aujourd'hui, que Jean SEGUREL a totalisé la vente d'au moins une quinzaine de millions de disques vinyles, CD et cassettes confondus. A Paris, le seul nom de SEGUREL attirait chaque année au traditionnel bal des corréziens au Palais de la Mutualité pas moins de 5000 personnes, et, en 1963, la célèbre nuit des auvergnats de Paris (la Nuit Arverne) à la Porte de Versailles battit tous les records avec 13 000 entrées.

 

Pendant sa jeunesse, Jean SEGUREL avait été un passionné de cyclisme, disputant même quelques courses locales qu'il gagna. Dans son for intérieur, il caressait l'idée d'organiser un jour une grande compétition sportive dans les Monédières, où il invitera à Chaumeil les plus grands champions. Grâce à ses relations avec le monde du cyclisme, le premier "Bol d'Or des Monédières" eut lieu le jeudi 7 août 1952. Ce fut ROBIC, vainqueur du Tour de France, qui l'emporta. Quinze autres "Bols d'Or" allaient suivre, attirant à Chaumeil une foule évaluée chaque année à plus de 60 000 personnes et cela jusqu'en 1967, date où Jean SEGUREL prit sa retraite de Chef d'Orchestre. 

En quinze ans, de COPPI à POULIDOR, en passant par GEMINIANI, BOBET, BAHAMONTES, et ANQUETIL, tous les cracks du vélo coururent à Chaumeil, payés par Jean SEGUREL qui finançait entièrement la course de ses propres deniers. Son fils Alain a repris le flambeau à la tête du "Club Sportif des Monédières" en relançant le "Bol d'Or" dès 1982 à Chaumeil. Trois Tours de France sont passés dans les Monédières : en 1987 avec l'arrivée de l'étape Poitiers-Chaumeil au sommet des Monédières en 1998 avec la 7ème étape contre la montre et en 2001 avec arrivée d'étape à Sarran, fief du Président de la République Jacques CHIRAC.

Jean SEGUREL et Robert  MONEDIERE

Bien qu'il ne fut pas un grand virtuose, Jean SEGUREL a toujours été considéré comme l'une des grandes vedettes nationales de l'accordéon. Il a sorti de l'oubli nombre de chansons et danses folkloriques du Limousin. Son style si particulier et la sonorité de ses accordéons "Maugein" l'ont différencié de tous les autres accordéonistes célèbres. Parmi ses plus grands succès, figurent désormais des classique de l'accordéon. 

"Bruyères Corréziennes", "Oh! Maria", "La marche des célibataires", "Le pays des mille sources", "Retour aux champs", "Marie des bruyères", "Dans le grand cantou", "Nostalgie de son pays", etc... en sont les principaux.

Jean SEGUREL est désormais entré dans la légende et son extraordinaire popularité en a fait sans doute l'accordéoniste n°1, dont la musique est encore jouée dans toute la France et même à l'étranger.

 

Plus de vingt ans après sa disparition, le Massif-central ne l'a pas oublié et beaucoup d'hommages lui ont été rendus. Pendant trente ans , le carillon de la gare des Bénédictins à Limoges, égrena les quatre première mesures de "Bruyères Corréziennes" à l'arrivée et au départ de chaque train; de nombreuses rues de localités en Limousin portent le nom de Jean SEGUREL; de très nombreux enregistrements de lui ont été réédités chez "Sony Music" depuis sa disparition : en 33 tours vinyles et en cassettes d'abord, en CD ensuite. De plus tous ses 78 tours d'avant guerre et ceux enregistrés chez "Odéon" entre 1945 et 1952 ont été réédités et figurent sur quatre CD de la firme "I. L. D." De nombreuses émissions de télévision ont été consacrées à Jean SEGUREL, Pascal SEVRAN lui a aussi consacré plusieurs "Chances aux Chansons". Une vidéo sur le "Bol d'Or" et une autre vidéo intitulée "Il était une fois Jean SEGUREL" réalisées par  Roland MANOURY ont été éditées.

La biographie complète de Jean SEGUREL a été écrite également par Roland MANOURY dans un livre de 382 pages dont 16 en couleurs intitulé "Jean SEGUREL : Un accordéon dans la bruyère" et préfacé par Michel PEYRAMAURE. La revue "Accordéon-magazine" a consacré plusieurs pages à Jean SEGUREL également.

Un musée retraçant sa vie de musiciens et la course du "Bol d'Or des Monédières" est ouvert à Chaumeil en Corrèze dans son village.

"Les amis de Jean SEGUREL" association fondée en 1979, lui a érigé une stèle et depuis 1984 organise dans une localité corrézienne, un grand prix de la chanson qui porte le nom de Jean SEGUREL, ouvert à tous les auteurs-compositeurs et interprètes qui doivent jouer une seule chanson inédite dont la particularité est d'être accompagnée obligatoirement par de l'accordéon.


source: http://perso.orange.fr/mdcn/segurel.html
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6 septembre 2007 4 06 /09 /septembre /2007 09:42
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25 août 2007 6 25 /08 /août /2007 07:34

RAYMOND BARRE
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L 'ancien Premier ministre centriste français Raymond Barre (1976-1981), 83 ans, est décédé samedi à l'hôpital du Val de Grâce à Paris, où il était hospitalisé depuis avril dernier pour des problèmes cardiaques, a-t-on appris de source familiale.

L'ancien Premier ministre et ancien maire de Lyon avait été hospitalisé à Monaco à la suite d'un malaise survenu dans sa maison de Saint-Jean-Cap-Ferrat (Alpes-Maritimes/sud), avant d'être transféré par hélicoptère le 11 avril vers l'hôpital militaire parisien du Val-de-Grâce et admis au service de cardiologie.

A une insuffisance rénale, dont souffrait l'ancien Premier ministre depuis des années, se sont ajoutés des problèmes cardiaques, avaient indiqué ses proches.

Le président Nicolas Sarkozy a rappelé les "convictions européennes" de l'ancien Premier ministre qu'il a qualifié d'"esprit libre et indépendant" et de "personnage à part dans le personnel politique français".

"Représentant éminent de l'école française de science économique, il eut la volonté de mettre son savoir au service de la cité, toujours fidèle, dans son engagement, à ses convictions européennes, libérales et sociales", dit encore de M. Barre le communiqué de la présidence de la République.

L'ancien président Valéry Giscard d'Estaing a de son côté déclaré que "la France vient de perdre un de ses meilleurs serviteurs", en apprenant le décès de son ancien Premier ministre.

"Son action s'inscrivait dans la grande ligne de ceux qui depuis Colbert (ministre de Louis XIV) ont construit la prospérité de notre pays", a déclaré VGE dans un communiqué transmis à l'AFP.

"Raymond Barre était un homme d'Etat qui ne poursuivait aucun objectif personnel mais qui cherchait à assurer par une compétence exceptionnelle et un travail acharné le bien être de notre pays", a ajouté l'ancien président.

Né le 12 avril 1924 à Saint-Denis (Réunion), économiste, Raymond Barre avait été Premier ministre du président Valéry Giscard d'Estaing de 1976 à 1981. Il a été aussi maire de Lyon (centre) pendant six ans, de 1995 à 2001, député centriste du Rhône à partir de 1978, réélu sans discontinuer et candidat malheureux à l'Elysée en 1988, où avec 16,53% au premier tour il avait été devancé par François Mitterrand et Jacques Chirac. Il s'était retiré de la vie politique active en juin 2002.

Professeur émérite des universités, cet européen convaincu a été vice-président de la Commission européenne de Bruxelles, chargé des affaires économiques et financières de 1967 à 1973.

Professeur agrégé de droit et de sciences économiques à Sciences Po, Raymond Barre avait fait ses premiers pas en politique en 1959 comme chef de cabinet de Jean-Marcel Jeanneney, ministre de l'Industrie et du Commerce du général de Gaulle.

Il est l'auteur de plusieurs ouvrages, dont un manuel d'"Economie politique" (1955 et actualisé en 1988), utilisé par des générations d'étudiants.

Marié à Eva Hegedüs, d'origine hongroise, il a eu deux fils, Olivier et

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J’ai fait un rêve dans le temps passé
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Et que la vie valait la peine d’être vécue
J’ai rêvé que l’amour ne mourrait jamais.
Les misérables

 

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L'espoir est une lumière dans un océan de ténèbres.
 
BSS.CB.JP (13)
 
Quand il n'y a plus d'espoir il y a encore un petit espoir
 
 
 
 
 
 

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