20 mars 2010 6 20 /03 /mars /2010 16:31

Le préparateur américain Performance Power Racing frappe un grand coup un battant le record du monde de vitesse sur 1 mile départ arrêté.

La performance : 407,12 km/h. Une performance incroyable puisque le précédent record, détenu par une Dodge Viper modifiée, était de (seulement) de 372,82 km/h.

Evidemment, cette Ford GT n'est pas le modèle de série. Performance Power Racing y a greffé tout son savoir-faire pour faire de la GT un monstre de puissance. Le V8 d'origine a été hyper gonflé - avec notamment l'ajout de deux turbos - pour atteindre une puissance de 1400 ch !



Source :le net
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17 mars 2010 3 17 /03 /mars /2010 18:13



Les oeufs de cane (ou  un oeuf classique de poule) tout frais pondus sont plongés dans de grandes bassines d'eau bouilllante, à l'abri de la lumière. Une fois durs, et toujours avec la coquille, on les enrobe d'une gangue de terre glaise, puis d'une couche de paille, toujours pour les protéger de la lumière et en assurer la conservation. Deux à trois mois plus tard, ils sont prêts à être consommés : quand on enlève la carapace et la coquille, ils ont pris cette couleur étrange.

Si vous avez un supermarché chinois près de chez vous, cherchez des grandes jarres posées au sol, pleines de boule de paille : ce sont des oeufs.

Pour les consommer, ya pas plus simple : enlever la carapace et la coquille, couper l'oeuf en 8, 1 càc de sauce de soja, 1 càs d'huile de sésame (obligatoire), et des lamelles de gingembre mariné. Ca se sert en entrée et à côté d'autres entrées, pas tout seul.

Le goût, croyez-moi si vous voulez, est entre le roquefort et le foie gras.

source :photo et texte du net .Idée de Dracipe27
NB:D'aprés mes renseignements,il y aurait une version ou les les oeufs ne seraient pas cuits et entourés d'une "espéce" de glaise et
mis à "murir "pendant deux ou trois mois.Je n'ai jamais personnellement gouté ces oeufs.

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2 décembre 2009 3 02 /12 /décembre /2009 20:22

La lettre de la petite Japonaise lui revient 15 ans plus tard... par poisson

TOKYO (AFP) - Une lettre accrochée à un ballon volant par une écolière japonaise lui est revenue quinze ans plus tard par les grâces d'un poisson, pêché dans l'Océan Pacifique et sur lequel le courrier s'était collé.

 

Un pêcheur a trouvé la lettre collée sur un poisson plat qu'il venait d'attraper dans ses filets, à 1.000 mètres de profondeur dans la mer.

Du courrier encore lisible, le pêcheur a compris qu'il avait été envoyé par une enfant de 6 ans à l'occasion de l'anniversaire de son école.

"Notre école a 120 ans... Si vous trouvez cette lettre, s'il vous plaît écrivez-moi", disait la lettre datée de 1993 et où figurait l'adresse de l'établissement, situé à Kawasaki (est), à 150 km de l'endroit où a été pêché le poisson.

Comme ses camarades de classe, l'écolière avait attaché ce courrier à un ballon lancé dans les airs en espérant qu'il lui serait renvoyé.

La petite écolière, devenue une étudiante de 21 ans, a expliqué à la télévision Asahi qu'elle ne s'attendait pas "à recevoir une réponse de cette manière".

 

 

 

Source :Planetpositive.ch

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16 octobre 2009 5 16 /10 /octobre /2009 20:23

Pays-Bas


Janjaap Ruijssenaars, un architecte hollandais a fabriqué un lit flottant au-dessus du sol grâce à la force magnétique.

Pour s'en procurer un, il faut débourser plus de 1,2 million d'euros.

Cette plateforme noire aux lignes épurées, dont la mise au point n'a pas pris moins de six ans, peut aussi être utilisée comme table à manger ou comme socle.

Des aimants placés au sol et dans le lit se repoussent, permettant à celui-ci de se maintenir en suspension et de fins câbles d'acier le retiennent immobile.

C'est la version literie des trains à sustentation magnétique.

Source :Reponseatout.com

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15 octobre 2009 4 15 /10 /octobre /2009 16:45



Un streap –tease pour une averse

 

Pour lutter contre la sécheresse qui frappe une région de l'est de l'Inde,l'état du bihar,les paysans ont trouvé une parade étonnante. Ils demandent aux jeunes filles du village,qui ne sont pas encore mariées de labourer les champs………….nues.

Ils espèrent ainsi embarrasser les dieux de la météo et les pousser à faire pleuvoir.

Le responsable d'un village a expliqué que cette coutume locale était souvent utilisée.

Grâce à elle, les paysans sont persuadés que les dieux garantiront des récoltes exceptionnelles

Ils auraient promis de continuer jusqu'à ce qu'il pleuve abondamment.












source:reponseatout.fr

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14 octobre 2009 3 14 /10 /octobre /2009 20:17

Allemagne: ses voisins alertent la police car ils le soupçonnent d'être décédé

La police n'aurait pas dû se fier à son flair

 

Soupçonnant la présence d'un cadavre, elle a donné l'assaut à un appartement de Kaiserslautern, dans le Sud-Ouest de l'Allemagne. Mais, en entrant, elle a découvert que l'odeur nauséabonde qui avait attiré son attention était tout simplement celle des pieds du locataire endormi. Près de lui, trônait une pile de linge particulièrement sale.

L'homme était cloué au lit depuis une semaine. Les volets fermés, la boîte aux lettres pleine et l'exhalaison pestilentielle dans la cage d'escalier avaient mis la puce à l'oreille aux voisins qui avaient donné l'alerte.

Source:Réponseatout.com

10/2007

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13 octobre 2009 2 13 /10 /octobre /2009 19:53

Fichier:Coq-gaulois-dore.JPG

À
Neuvic (19), capitale du coq de pêche**, dont les plumes servent d’appâts aux gros poissons, un gallinacé est au centre d’une drôle de prise de bec entre voisines.

 

Plutôt que de voler dans les plumes de sa voisine (*), Dany Lallias a préféré prendre les choses à la blague dans cette querelle digne de Clochemerle.

En l’occurrence, ce n’est pas un merle mais un coq qui a fait prendre la mouche à cette Neuvicoise, fatiguée d’entendre l’animal de Dany Lallias s’époumoner aux aurores. L’histoire est d’autant plus insolite qu’elle a pour théâtre la petite cité de Neuvic, capitale du coq de pêche.

La prise de bec a débuté, il y a un peu plus d’un mois, lorsque la propriétaire du coq, âgée de 26 ans, a reçu la visite des gendarmes venus lui faire part de la puissance excessive du cocorico de ce compagnon à crête arrivé dans sa vie, en février dernier. Depuis, ils sont revenus à deux reprises pour tenter de résoudre le différend lié à ce coq très sportif…

Entre-temps, la jeune femme s’est employée à faire taire l’animal en le sortant plus tard après potron-minet. Pas suffisant, semble-t-il, pour sa voisine qui estime sa tranquillité encore trop perturbée.

Un cortège à la  " Groland "

Pour sa part, Dany Lallias juge la petite affaire « exagérée ». Car, explique-t-elle, ses voisins immédiats ne s’en plaignent pas, eux. Résultat, la semaine dernière, elle prenait le parti d’en rire en organisant « une manifestation pacifique » pour défendre son pote à plumes avec pancartes, banderoles et porte-voix.

Ce cortège « grolandien » a réuni une vingtaine de personnes bien décidées à défendre la liberté d’expression des coqs. Un défilé qui s’est achevé en forme de happening sur le parking d’une grande surface toute proche de l’habitation de la voisine en question, où des clients volontaires ont été invités à entonner leur plus beau chant du coq !
Pour l’heure, le petit litige n’a toujours pas trouvé d’issue raisonnable. Les deux voisines ne se sont d’ailleurs pas expliquées face à face. Dany Lallias, en tout cas, ne prévoit pas de chant du cygne pour son volubile volatile.

(*) Faute d’avoir pu contacter la voisine en question, nous avons pris la décision de préserver son anonymat.

 

Source:Lamontagne.fr

 

**

Fier et altier le coq de pêche ou "limousine" fait la fierté de sa capitale : Neuvic en Corrèze. Un grand concours annuel y célèbre les rois des coqs qui peuvent atteindre des prix très élevés.

Tout le secret de cette volaille tient dans sa plume particulière (qualité et couleur) qui une fois montée savamment en forme de mouche, attire à tout coup les plus belles truites ! D'où le nom courant de "coq de pêche"... Par ailleurs c'est une volaille fermière, dégourdie, bonne pondeuse et décorative. Le coloris bleu est le plus recherché.

Image:Wikipedia

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12 octobre 2009 1 12 /10 /octobre /2009 18:14

Une Allemande de 40 ans a été arrêtée alors qu'elle conduisait sur l'autoroute sans les mains, mais avec un téléphone portable collé à chaque oreille, a indiqué lundi la police de Münster (ouest de l'Allemagne).

Des policiers qui roulaient sur la même autoroute en direction de Brême (nord) l'ont prise en flagrant délit de conférence téléphonique et de redéfinition du concept "mains libres" au profit du portable, et non plus du volant.

C'est en tournant la tête pour regarder dans le véhicule de la file voisine qu'ils ont constaté que la dame s'essayait à la conduite sans les mains.

L'imprudente a eu beau lâcher aussitôt ses deux téléphones mobiles et faire son mea culpa auprès des policiers estomaqués, elle n'a pas échappé à une belle amende.


Source: BERLIN (AFP) - 12/10/09 17:11

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3 septembre 2009 4 03 /09 /septembre /2009 18:42




Deux pompiers volontaires ont assisté une jeune mère forcée d'accoucher sur le parking de la caserne de l'Isle-sur-le-Doubs (Doubs), a-t-on appris jeudi auprès des pompiers.

"Mercredi vers 13h20, j'étais avec le chef de centre lorsque nous avons vu une voiture arriver à vive allure sur le parking de la caserne. A l'intérieur, une dame avait les deux pieds sur le tableau de bord. Quand nous sommes arrivés vers le véhicule, on voyait déjà la tête du bébé en train de sortir", raconte l'adjoint au chef de centre.

Les deux pompiers volontaires ont assisté la jeune femme, âgée de 25 ans et déjà mère de deux enfants de 5 et 9 ans, pour faire sortir le bébé. Ils ont ensuite attendu l'arrivée de l'infirmier et du médecin pour couper le cordon.

La mère et son petit garçon ont été transportés à l'hôpital de Montbéliard (Doubs) où ils se portent bien, précise l'adjoint.

Le matin même, la jeune femme avait eu des contractions mais à l'hôpital, les médecins l'avaient laissée rentrer chez elle.

A l'heure du repas, elle avait eu de nouvelles contractions. Devant l'urgence, son compagnon avait préféré l'emmener à la caserne voisine plutôt que d'effectuer le trajet jusqu'à l'hôpital de Montbéliard, situé à environ 25 km.

Source: BESANÇON (AFP) - 03/09/09 16:53….Orange.fr

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12 mai 2009 2 12 /05 /mai /2009 13:25

Avant de voir la solution plus bas,cherchez un peu avant.

Il était une fois un arbre.

Au beau milieu d'un verger, il était sorti de terre, petite pousse verte et fragile se confondant avec les herbes alentours. Curieux de tout, il regarda bien vite le monde qui l'entourait, les fleurs qui s'ouvraient le matin et se refermaient le soir, les oiseaux qui sifflaient en sautant de branche en branche, le paysan qui venait tôt le matin cueillir les fruits des arbres, les graminées qui ondulaient sous la caresse des vents...

Ah!, il le trouvait beau ce monde autour de lui, il avait envie lui aussi de participer à cette beauté, de trouver sa place dans cette harmonie.

Une année s'écoula et, ayant grandi, il était devenu un petit rameau portant quelques tiges. Il se rendit compte qu'il n'était pas un brin d'herbe comme il l'avait crû tout d'abord, mais un arbre et se mit à observer plus attentivement ses aînés.

Il les trouvait si grands, si beaux recouverts de leurs feuilles et de leurs fleurs; il fût si émerveillé de voir toutes ces fleurs se transformer en fruits, il fût si attendri des soins attentifs que leur apportait le paysan, mais...

Mais, se regardant, il s'aperçut que son écorce ne ressemblait à aucune de celles qui les habillait, que ses branches n'avaient pas la même forme que les leurs. Alors, il eût peur, peur de n'être pas assez grand, peur de n'être pas assez beau, peur de ne pas porter assez de fruits, il eût peur que les autres, pommiers, poiriers, mirabelliers... n'acceptent pas sa différence et il décida de ne produire ni feuille, ni fleur, ni fruit.

C'est ainsi que les années passèrent, à chaque printemps, son tronc s'épaississait, s'allongeait, de nouvelles branches poussaient, mais... ni feuille, ni fleur, ni fruit.

Pour ne pas se trouver nu face aux autres, il s'était depuis son jeune âge laissé peu à peu recouvrir par un lierre grimpant, par des liserons et par des bouquets de gui : ne sachant à quoi il pourrait ressembler, il se couvrait d'une beauté qui n'était pas la sienne.

Le jardinier plus d'une fois projeta de le couper pour en faire du bois de chauffage, mais trop occupé par ailleurs, il remit chaque fois cette tâche à plus tard. Un matin pourtant il vint, armé d'une grande hache et commença par couper le lierre qui enserrait l'arbre. Du lierre, il y en avait tellement que cela lui prit toute la journée et qu'une fois de plus, il remit l'abattage à plus tard. Cette nuit là, un petit ver parasite piqua le liseron qui en mourut aussitôt et le lendemain, les oiseaux du ciel apercevant le gui vinrent le picorer.

Il ne restait plus de l'arbre au milieu du verger qu'un tronc et des branches : il ne restait plus que l'arbre au milieu du verger.

S'apercevant soudain de sa nudité et ne sachant par quel artifice la couvrir, il se décida enfin à laisser pousser tout au long de ses branches de belles petites feuilles d'un vert tendre, à laisser éclore au bout de chaque rameau de mignonnes petites fleurs blanches contrastant joliment avec le brun de la ramure et le vert du feuillage

Le paysan sur ces entrefaites revint avec sa hache et découvrant à la place du tronc inutile un magnifique cerisier, ne trouva plus aucune raison de le couper. Il le laissa donc, trop heureux du miracle qui s'était produit.

Depuis ce jour, l'arbre vit heureux au milieu du verger, il n'est pas comme les autres, ni plus beau, ni plus grand, mais tout aussi utile. Il a compris que ni la texture de l'écorce, ni le tracé des branches, ni la forme des feuilles, ni la couleur des fleurs n'ont d'importance : seuls importent les fruits qu'il porte et que nul autre que lui ne peut porter.

Aussi, tous les ans, à la belle saison, les enfants du paysan viennent avec une échelle et, s'éparpillant dans sa ramure, se gavent de ses fruits et le réjouissent par leurs rires.

N'ayons pas peur des fruits que nous pourrions porter, car nul autre ne pourra les porter pour nous, mais chacun pourra s'en nourrir. N'ayons pas peur des fruits que nous pourrions porter.

Car chaque fois que nous les refuserons, il manquera quelque chose dans le monde ; n'ayons pas peur des fruits que nous pourrions porter, car chacun d'eux permettra de faire grandir la Vie et l'Amour que Dieu nous a donnés.








chercher un peu.........................................
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chercher un peu.........................................




chercher un peu.........................................




Le texte ci dessus a été écrit en police Webdings,il suffit de sélectionner tous les textes "bizarres" que vous trouverez et de leur appliquer une police "Normal".Simple comme bonjour,et amusant.

Traduction......................................

Le texte ci dessus a été écrit en police Webdings,il suffit de sélectionner tous les textes "bizarres" que vous trouverez et de leur appliquer une police "Normal".Simple comme bonjour,et amusant.

Il était une fois un arbre.

 

Au beau milieu d'un verger, il était sorti de terre, petite pousse verte et fragile se confondant avec les herbes alentours. Curieux de tout, il regarda bien vite le monde qui l'entourait, les fleurs qui s'ouvraient le matin et se refermaient le soir, les oiseaux qui sifflaient en sautant de branche en branche, le paysan qui venait tôt le matin cueillir les fruits des arbres, les graminées qui ondulaient sous la caresse des vents...

Ah!, il le trouvait beau ce monde autour de lui, il avait envie lui aussi de participer à cette beauté, de trouver sa place dans cette harmonie.

Une année s'écoula et, ayant grandi, il était devenu un petit rameau portant quelques tiges. Il se rendit compte qu'il n'était pas un brin d'herbe comme il l'avait crû tout d'abord, mais un arbre et se mit à observer plus attentivement ses aînés.

Il les trouvait si grands, si beaux recouverts de leurs feuilles et de leurs fleurs; il fût si émerveillé de voir toutes ces fleurs se transformer en fruits, il fût si attendri des soins attentifs que leur apportait le paysan, mais...

Mais, se regardant, il s'aperçut que son écorce ne ressemblait à aucune de celles qui les habillait, que ses branches n'avaient pas la même forme que les leurs. Alors, il eût peur, peur de n'être pas assez grand, peur de n'être pas assez beau, peur de ne pas porter assez de fruits, il eût peur que les autres, pommiers, poiriers, mirabelliers... n'acceptent pas sa différence et il décida de ne produire ni feuille, ni fleur, ni fruit.

C'est ainsi que les années passèrent, à chaque printemps, son tronc s'épaississait, s'allongeait, de nouvelles branches poussaient, mais... ni feuille, ni fleur, ni fruit.

Pour ne pas se trouver nu face aux autres, il s'était depuis son jeune âge laissé peu à peu recouvrir par un lierre grimpant, par des liserons et par des bouquets de gui : ne sachant à quoi il pourrait ressembler, il se couvrait d'une beauté qui n'était pas la sienne.

Le jardinier plus d'une fois projeta de le couper pour en faire du bois de chauffage, mais trop occupé par ailleurs, il remit chaque fois cette tâche à plus tard. Un matin pourtant il vint, armé d'une grande hache et commença par couper le lierre qui enserrait l'arbre. Du lierre, il y en avait tellement que cela lui prit toute la journée et qu'une fois de plus, il remit l'abattage à plus tard. Cette nuit là, un petit ver parasite piqua le liseron qui en mourut aussitôt et le lendemain, les oiseaux du ciel apercevant le gui vinrent le picorer.

Il ne restait plus de l'arbre au milieu du verger qu'un tronc et des branches : il ne restait plus que l'arbre au milieu du verger.

S'apercevant soudain de sa nudité et ne sachant par quel artifice la couvrir, il se décida enfin à laisser pousser tout au long de ses branches de belles petites feuilles d'un vert tendre, à laisser éclore au bout de chaque rameau de mignonnes petites fleurs blanches contrastant joliment avec le brun de la ramure et le vert du feuillage

Le paysan sur ces entrefaites revint avec sa hache et découvrant à la place du tronc inutile un magnifique cerisier, ne trouva plus aucune raison de le couper. Il le laissa donc, trop heureux du miracle qui s'était produit.

Depuis ce jour, l'arbre vit heureux au milieu du verger, il n'est pas comme les autres, ni plus beau, ni plus grand, mais tout aussi utile. Il a compris que ni la texture de l'écorce, ni le tracé des branches, ni la forme des feuilles, ni la couleur des fleurs n'ont d'importance : seuls importent les fruits qu'il porte et que nul autre que lui ne peut porter.

Aussi, tous les ans, à la belle saison, les enfants du paysan viennent avec une échelle et, s'éparpillant dans sa ramure, se gavent de ses fruits et le réjouissent par leurs rires.

N'ayons pas peur des fruits que nous pourrions porter, car nul autre ne pourra les porter pour nous, mais chacun pourra s'en nourrir. N'ayons pas peur des fruits que nous pourrions porter.

Car chaque fois que nous les refuserons, il manquera quelque chose dans le monde ; n'ayons pas peur des fruits que nous pourrions porter, car chacun d'eux permettra de faire grandir la Vie et l'Amour que Dieu nous a donnés.



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Parc du Chateau de la Motte TILLY

 

 

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Aristote 

 

J’ai fait un rêve dans le temps passé
Quand l’espoir était brillant
Et que la vie valait la peine d’être vécue
J’ai rêvé que l’amour ne mourrait jamais.
Les misérables

 

Pensées du jour

La patience guide l'espoir en terrain inconnu.
 
L'espoir est une lumière dans un océan de ténèbres.
 
BSS.CB.JP (13)
 
Quand il n'y a plus d'espoir il y a encore un petit espoir
 
 
 
 
 
 

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