Un perroquet a été interdit de stade pour avoir semé la panique dans le jeu, en imitant le bruit du sifflet de l'arbitre pendant la rencontre entre les clubs de football Hatfield Town et Hertford Heath.Les deux équipes jouaient un quart de finale pour le Hertfordshire Senior Centenary Trophy.

Parmi les spectateurs, venus nombreux, une femme et son perroquet.Bien que l'arrivée de l'animal ait surpris les spectateurs, sa présence n'a eu aucune incidence pendant la première mi-temps. Dès la deuxième mi-temps, en revanche, le match a tourné à la farce, quand l'animal s'est mis à siffler de la même façon que l'arbitre, causant la confusion sur le terrain.L'arbitre Gary Bailey raconte : "Je n'avais jamais vu ça de toute ma carrière footballistique.

C'était un match important et il y avait pas mal de monde. Cette femme était debout juste derrière la ligne de touche et a dévoilé d'un seul coup une grosse cage abritant un perroquet.

Au début, je n'ai pas fait attention. Mais ensuite, à chaque fois que je soufflais dans le sifflet, l'oiseau faisait exactement le même son." Après un moment de panique durant lequel le jeu a été interrompu puis repris en raison des sifflets du perroquet, la femme et son animal ont été invités à quitter le stade.
21.01.2009

Vidéo
La mère des octuplés de Californie avait déjà six enfants

(AFP.30/01/2009)
La Californienne qui a accouché d'octuplés cette semaine avait déjà six autres enfants en bas âge mais ne s'attendait pas du tout à en avoir huit autres quand elle a suivi un traitement contre la stérilité, a déclaré sa mère jeudi.

Angela Suleman, la mère de cette femme, a déclaré au "Los Angeles Times" jeudi que sa fille se retrouve face à le défi de taille d'élever 14 enfants. La bonne nouvelle, selon Mme Suleman, c'est que tous les bébés sont en bonne santé. "Je les ai vu. Ils sont si minuscules et si beaux", a-t-elle dit.

Cette femme a accouché à la maternité du célèbre hôpital Kaiser-Permanente à Bellflower: six garçons et deux filles, pesant de 820g à 1,54kg. Nés avec neuf semaines d'avance, ils sont tous dans un état stable. Deux des bébés ont été placés sous incubateur et un troisième a besoin d'oxygène.

La direction de l'hôpital, situé à une trentaine de kilomètres au sud-est de Los Angeles, a déclaré qu'elle ne donnerait aucune information sur la mère. Elle n'a pas non plus voulu dire si elle avait suivi un traitement pour la fertilité. En revanche, la direction a précisé qu'elle envisageait de tous les allaiter.

La mère était entrée à l'hôpital dans sa 23e semaine de gestation et a accouché sept semaines plus tard. Les bébés, qui ont été provisoirement baptisés avec les lettres de l'alphabet de A à H, resteront à l'hôpital pendant encore au moins deux mois tandis que leur mère devrait sortir d'ici une semaine, selon le Dr Karen Maples, l'un des deux obstétriciens qui ont procédé à l'accouchement.

Trois jours durant, les médias n'avaient rien pu savoir sur cette femme jusqu'à ce qu'une connaissance de la famille a révélé à la chaîne CBS, jeudi, que cette femme est "relativement jeune" et vit avec ses parents et ses six enfants dont des jumeaux.

En quelques heures, les médias ont établi un véritable campement devant la maison familiale située à Whittier, dans la banlieue sud-est de Los Angeles. C'est devant cette maison que le grand-père des enfants, qui n'a donné que son prénom, Ed, a déclaré à l'Associated Press que les bébés allaient bien mais qu'il ne connaissait pas encore leurs prénoms. Il a fait cette déclaration alors qu'il sortait d'une fourgonnette avec deux des six autres enfants de cette femme âgés de sept et six ans. Ils ont confirmé que leur mère avait maintenant 14 enfants.

Ed a averti les médias qu'ils auraient beaucoup de mal à retrouver la famille quand les enfants auront quitté l'hôpital. "Nous avons une maison immense mais pas ici. Vous ne saurez jamais où", a-t-il souligné.

Angela Suleman a précisé que les embryons avaient été implantés l'an dernier. Après avoir appris sa grossesse multiple, les médecins avaient laissé le choix à sa fille de réduire de manière sélective le nombre des embryons. Elle a refusé.

"Que pensez-vous qu'elle aurait dû faire? Elle a refusé de les tuer. C'est une chose très douloureuse", a dit Mme Suleman.

Les premiers octuplés à avoir survécu à leur naissance avaient vu le jour à Houston au Texas, après que le couple a suivi un traitement pour la fertilité, en 1998. L'un d'entre eux était mort une semaine après. Les sept autres, cinq filles et deux garçons, ont fêté leur 10e anniversaire fin décembre. AP

  D'aprés Closer:http://www.closermag.fr/

Octuplés de Californie :
le papa obligé de partir travailler en Irak !

Voila un petit texte qui m'a fait sourire,et dont j'ai demandé a c'elle à qui cela était arrivée de me le preter .Pour connaitre le nom du lieu de cette histoire,il faudra aller voir son blog .

Revenons quelques heures en arrière. Ce soir là, c'est à dire hier, nous étions partis pour notre deuxième atelier formation "Mécénat-Sponsoring" à une quarantaine de kilomètres d'Agen.
Au retour , chemin faisant, et loin de nous douter de ce qui allait arriver, nous conversions allègrement.
Puis, tout à coup, sans raison apparente, la voiture à commencer à ralentir et à ne plus répondre aux sollicitations angoissées de son chauffeur.
Par bonheur nous avons eu assez d'élan pour  nous ranger sur le bas côté à hauteur d'un lieu dit.
Il était 22h! ALLELUIA! L'environnement ne paraissait pas hostile, mais je suis quand même restée dans la voiture en attendant du renfort, courageuse mais pas téméraire !
Pendant que mon gentil chauffeur s'afférait pour trouver de l'aide, je réalisais le cocasse de la situation...le coup de la panne c'était passé dans un village qui s'appelait………………………
................................................si je vous disez le nom du lieu-dit vous seriez capable de ne pas me croire,allez donc ............
voir la fin chez ZAN

                                                 Au début des années cinquante, il arriva aux États-Unis une chose inattendue à un pilote de chasse qui s'entraînait au tir sur des cibles placées au sol.

L'exercice se déroulait par beau temps et selon une procédure familière.

Le pilote eut tout à coup l'impression étrange qu'on tirait sur lui. Il ressentait assez nettement des chocs en rafales jusque dans le cockpit. La chose était incompréhensible puisqu'il n'y avait pas d'autre avion dans le ciel et qu'au-dessous s'étendait le désert. Un coup d'œil rapide aux ailes de son appareil ne le rassura pas : elles n'étaient plus dans leur état normal. Il signala le fait par radio ; l'ordre lui fut donné d'arrêter l'exercice et d'atterrir. Il se posa, tout en s'assurant du fait que le désert était vide de toute présence.

Au sol, deux choses furent immédiatement constatées : des projectiles avaient touché l'avion sans toutefois transpercer la tôle, ceci sous des angles d'attaque qui n'obéissaient pas aux lois de la balistique.

La solution de cette énigme fut rapidement trouvée. Elle étonna beaucoup les aviateurs.

Ce cas fut l'un des premiers d'une série qui posa quelques problèmes ! Les impacts avaient été produits par les balles provenant des mitrailleuses de l'avion lui-même. Pour la première fois, les avions volaient suffisamment vite pour rattraper leurs propres projectiles au moment crucial où ceux-ci sont en perte de vitesse.

AFP 13.01.2009

Flâner pendant six mois sur une île tropicale pour un salaire des plus alléchants? C'est le "meilleur job au monde" que propose un Etat australien dans le cadre d'une campagne de promotion touristique.

Hormis son salaire de 150.000 dollars australiens (105.000 dollars américains), le lauréat bénéficiera aussi d'un billet d'avion depuis son domicile jusqu'à l'île de Hamilton, sur la Grande barrière de corail, a indiqué mardi le gouvernement de l'Etat du Queensland (est).

En échange, "le gardien de l'île" aura pour mission de se balader sur les plages de sable blanc, explorer les fonds sous-marins, effectuer quelques "menus travaux" et alimenter chaque semaine un blog avec photos et vidéos.

L'heureux élu, qui sera logé dans une villa de trois chambres avec piscine et golf, doit être bon nageur, excellent communicant et capable de lire et écrire en anglais.

"Il faudra aussi de temps en temps parler aux médias de ce qui se passe sur l'île. Les candidats ne doivent donc pas être trop timides, ils doivent aimer la mer, le soleil, les activités de plein air", a déclaré le Premier ministre par intérim du Queensland, Paul Lucas, qualifiant cette offre "de meilleur job au monde".

Il a également expliqué que cette initiative s'inscrivait dans le cadre d'une campagne destinée à préserver l'industrie touristique du Queensland, qui pèse 18 milliards de dollars, pendant la crise économique actuelle.

Les candidatures, valables depuis tous les pays du monde sur le site www.islandreefjob.com, sont ouvertes jusqu'au 22 février.

Début mai, une sélection finale aura lieu sur l'île de Hamilton avec onze candidats. Le gagnant se "mettra au travail" à partir du 1er juin.

  Dernieres news........14/01/2009

"Nous sommes inondés de demandes avec environ 300.000 visiteurs sur le site hier (mardi)", a indiqué mercredi à l'AFP Nicole McNaughton, une porte-parole de l'Etat du Queensland (nord-est).

"Le site a +planté+. En une heure seulement, 25.000 personnes ont tenté de se connecter, mais nous faisons de notre mieux et il devrait fonctionner de nouveau aujourd'hui", a-t-elle ajouté.

En pleine crise économique mondiale, l'Office de tourisme du Queensland a lancé un concours avec, à la clef, un contrat à durée déterminée (CDD) de six mois dans le cadre d'une campagne de promotion et de sensibilisation à l'environnement.

Le lauréat sera l'unique gardien de l'île de Hamilton, un confetti paradisiaque niché au coeur de la Grande barrière de corail.