21 janvier 2011 5 21 /01 /janvier /2011 19:43

L'amour...

 

Selon un sondage mené par Betterbathrooms.com, un couple se dispute en moyenne 312 fois par an. Le jeudi est le jour où les disputes sont les plus courantes.…

 

 

Chaque année, un couple rentre en conflit 312 fois. C'est en tout cas que ce rapporte un sondage mené en Grande-Bretagne auprès de 3 000 adultes par Betterbathrooms.com. Et si les disputes soulèvent parfois des questions importantes, la plupart est futile et inutile.

Ainsi, les sujets qui agacent le plus les femmes sont le rouleau de papier toilette qui n'est pas changé, les lumières qui ne sont pas éteintes, le choix du programme télé, et la lunette des toilettes qui n'est pas rabattue. Pour les hommes, le temps de préparation d'une femme, les cheveux dans les canalisations, et les tâches ménagères sont les thèmes les plus irritants. A noter que le jeudi, à 20h, est le moment le plus souvent choisi pour hausser la voix.

"Tous les couples se disputent, mais voir le temps qu'ils passent à se prendre la tête sur des choses aussi futiles que les tâches ménagères est une révélation. Beaucoup de temps est perdu à ses querelles, un temps qui pourrait être mis à profit pour modifier quelque peu ses agaçantes habitudes", a expliqué Nick Elson, porte-parole de Betterbathrooms.com.

Diminuer la fréquence des disputes n'est d'ailleurs pas inutile pour la longévité d'un couple, puisqu'un Britannique sur cinq aurait pensé à la rupture lors d'un conflit.

 

Source:Yahoo.fr

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7 janvier 2011 5 07 /01 /janvier /2011 16:19

Une Britannique d'une quarantaine d'années est morte le jour de Noël

 d'une overdose de médicaments, après avoir prévenu ses 1048 «amis» sur le réseau social.

Combien d'amis avons-nous réellement sur Facebook ? Une Britannique qui avait annoncé le jour de Noël son suicide sur Facebook est morte sans qu'aucun de ses 1048 «amis» n'intervienne ou n'appelle les secours, a rapporté vendredi le Guardian.

«Pris tous mes médicaments serai bientôt morte bye bye tout le monde», aura été le dernier «post» de Simone Back, 42 ans, à 22h53 le jour de Noël. Un texte qui sonne comme un appel au secours mais que son réseau d'amis n'a pas entendu de cette oreille. Sous le message de la désespérée, 148 commentaires ont bien été écrits. Mais aucun de leurs auteurs ne s'est déplacé ou n'a alerté les secours.

«Elle fait ça tout le temps et elle ment», dit même l'un des commentaires, écrit quelques minutes après le message d'origine. Le même «ami», plus bas, insiste: «Elle n'est plus une enfant». Et un autre d'enchérir: «Elle a le choix et une rupture n'est pas une assez bonne raison pour prendre des médicaments». Simone Back avait-elle déjà annoncé son suicide auparavant ? Si oui, cela justifie-t-il qu'aucun n'ait eu la présence d'esprit, malgré tout, de lui venir en aide ?

«Si seulement quelqu'un avait marché jusqu'à sa maison…»

«C'est affligeant de voir que personne n'a rien fait», a réagi la mère de la victime, qui n'a appris la tragique nouvelle que 17 heures après l'envoi du message. Selon elle, certains des contacts de sa fille habitaient pourtant à quelques pas de chez elle. «Si seulement une personne avait laissé son ordinateur pour marcher jusqu'à sa maison, sa vie aurait pu être sauvée», a regretté une amie de la victime dans la vie réelle. Mais c'est la police, alertée par la mère, qui trouvera finalement le corps sans vie de Simone à son domicile. Nul ne sait si elle a lu les réactions à son message avant de mourir.

Avec la popularisation de Facebook, les cas se multiplient de personne y annonçant leur suicide. La plupart du temps, un membre du réseau social alerte les secours et les rubriques «faits divers» des journaux regorgent d'histoires qui se sont bien terminées. Dans un communiqué, le réseau social s'est dit «profondément attristé» par l'histoire de Simone Back. Et de rappeler que Facebook a un partenariat outre-Manche avec les Samaritains, une association britannique d'écoute qui vient en aide aux personnes désespérées.

Source:Yahoo.fr

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7 janvier 2011 5 07 /01 /janvier /2011 12:17

Mesdames, rien ne sert de pleurer pour attendrir un homme, vos larmes auront pour seul effet celui de réduire leur libido! C'est la conclusion d'une étude réalisée par une équipe de chercheurs israéliens qui voulaient voir si nos larmes contiennent des signaux chimiques influençant le comportement des autres.

Publiée jeudi dans le journal Science, l'étude pourrait signifier le début d'une réponse à une question que se posent les scientifiques depuis longtemps, note le New York Times: pourquoi est-ce que les humains, au contraire des autres espèces, pleurent des larmes émotionnelles, et non pas seulement des larmes «utilitaires» censées protéger les yeux des débris?

Les chercheurs ont collecté des larmes de femmes pleurées devant un film triste, ainsi que des solutions salines neutres (qui avaient été mises en contact avec la peau des femmes). Ils les ont fait sentir à des volontaires masculins, qui n'ont senti aucune odeur particulière dans ces deux solutions. Les scientifiques ont ensuite montré aux hommes des photographies de femmes à l'expression neutre, et ceux qui avaient humé les larmes ont tous trouvé les femmes moins attirante sexuellement que ceux qui avaient seulement senti la solution salée. Les hommes ayant senti des pleurs montraient également des signes de réduction de testostérone, note i09.

On leur a ensuite montré des films tristes alors que l'activité de leur cerveau était contrôlée par un IRM, et la partie du cerveau responsable pour l'attirance sexuelle de ceux qui avaient senti des pleurs était moins active que cette même zone chez les autres.

Ces expériences montrent que les larmes émotionnelles envoient un message, affirme un des chercheurs:

«Les signaux chimiques sont une forme de langage. Fondamentalement, ce que nous avons trouvé c'est le signal chimique pour dire dire "non", ou du moins "pas maintenant"».

Il a ensuite noté qu'il ne voulait absolument pas dire que cette découverte devrait être utilisée dans nos relations romantiques actuelles:

«Je ne dis pas que je recommande aux femmes de pleurer pour envoyer un message. Ça serait beaucoup mieux de simplement dire non.»

Les chercheurs s'intéressent désormais aux larmes émotionnelles des hommes – ils n'avaient pas pu le faire jusque là faute de trouver de «bons pleureurs». Ils estiment que leurs larmes transmettront également des signaux chimiques, peut-être avec l'objectif de réduire l'agressivité chez les autres hommes (citant une étude qui a montré que quand les rats-taupes se recouvrent le visage de larmes, cela réduit l'agressivité des autres).

 

source:yahoo.fr

 

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31 décembre 2010 5 31 /12 /décembre /2010 11:53

Les études les plus simples peuvent ne pas être les moins inintéressantes. C’est aujourd’hui le cas avec cet étonnant travail présenté il y a quelques jours outre-Atlantique dans le cadre du meeting annuel de la Société américaine de chimie qui se tenait à Boston; un travail dont The Economist vient de se faire l’écho.

Je bois, j'ai moins faim

Cette recherche a été menée sous l’autorité du Pr Brenda Davy (Virginia Tech). Cette spécialiste de diététique est passionnée par tout ce qui a trait au contrôle de l’appétit, à la gestion du poids et à la prévention de l’obésité au moyen de règles simples et peu coûteuses; autant dire des recherches essentielles dans un pays –les Etats-Unis– qui prend progressivement conscience du fléau croissant, médico-social et économique que constitue l’obésité.  

Le Pr Davy est bien loin des préoccupations sophistiquées de ses collègues, généralement très bien alimentés par les multinationales de l’industrie pharmaceutiques soucieuses de trouver «la» molécule qui fera maigrir sans danger; molécule miracle qui reste toujours à découvrir après des décennies d’échecs successifs. L’un de ses thèmes favoris de recherche est de vérifier scientifiquement ce qu’il en est de ce serpent de mer qui voudrait que boire (de l’eau) avant les repas est une pratique qui aide à perdre du poids. Elle était sur ce point déjà arrivée à des conclusions intéressantes en s’intéressant à des personnes obèses et au breakfast. 

A Boston, elle a actualisé les derniers résultats qu’elle a pu obtenir sur le long terme après un travail publié au début de cette année. Son étude a porté sur 48 adultes «inactifs», âgés de 55 à 75 ans. Tous souffraient de surpoids et étaient volontaires pour suivre un régime hypocalorique assez drastique: 1.200 calories quotidiennes pour les femmes; 1.500 pour les hommes. Les personnes consommaient auparavant respectivement 1.800 et 2.200 calories. Deux groupes ont été constitués par tirage au sort. Les membres du  premier s’engageaient à boire un demi-litre d’eau avant chacun des trois repas quotidiens. Ceux du second ne modifiaient en rien leurs habitudes et restaient sobres. Une expérience, au total, qui dura douze semaines.

A l’arrivée, les premiers avaient perdus en moyenne 7kg et les seconds 5kg; et une différence pondérale qui, assure le Pr Davy, demeure avec un an de recul et ce alors que les 48 volontaires ne sont plus astreints à suivre de régime. Comment comprendre? Pour la spécialiste américaine –qui réfute les critiques méthodologiques qui lui sont faites–  le fait de remplir l’estomac d’un demi-litre d’eau avant chacun des trois repas quotidiens est de nature à réduire «mécaniquement» la sensation de faim et donc la prise de nourriture et de calories. Ceci pourrait aussi peut-être réduire la sensation de soif et donc la consommation de sodas sucrés. Mais l’affaire est peut-être plus complexe, comme en témoigne le maintien des différences entre les deux groupes sur le long terme. Mieux: les personnes du premier groupe ont –volontairement– continué la pratique de l’hydratation avant les repas et perdu en moyenne 700 grammes supplémentaires. 

Qui pour sponsoriser l'eau?

Lors de la publication des premiers résultats du Pr Davy certains  nutritionnistes avaient formulé une série de critiques. Ils faisaient notamment observer que l’on mange  peut-être moins quand on a de l’eau dans l’estomac, mais que cette eau est rapidement éliminée et quelques heures plus tard, la sensation de faim peut alors réapparaître. Ces nutritionnistes rappelaient alors aux personnes qui veulent perdre du poids de consommer au début du repas des aliments riches en eau (crudités ou une soupe) en postulant que cette eau est éliminée moins rapidement que celle qui est bue. Mais un an plus tard, ces critiques semblent avoir perdu bien de leur consistance.

Et force est bien de constater que nous sommes ici dans une situation paradoxale. Alors que la moindre étude concernant les bénéfices supposés de tel ou tel médicament anorexigène  est amplement médiatisée (avant qu’on en découvre les limites et les effets secondaires) les résultats de l’équipe du Pr Davy ne semblent guère mobiliser l’attention; ni celle des médias, ni celle des autorités sanitaires. Pourquoi, au vu des enjeux de santé publique (et, ici, de l’exceptionnel  rapport coût-efficacité)  ne pas aller plus loin, travailler à d’autres échelles, mener de plus vastes études auprès de volontaires souffrant de surpoids? Et si le fait est prouvé, pourquoi ne pas diffuser largement un message publicitaire on ne peut plus simple sur le thème «boire de l’eau avant les repas aide à maigrir».

On ne trouvera bien évidemment aucun sponsor pharmaceutique pour financer de telles études. Mais des solutions peuvent être trouvées: celle du Pr Davy a été soutenue par l’Institute for Public Health and Water Research, une organisation indépendante et à but non-lucratif qui vise à améliorer la santé publique à travers le monde via la consommation d’eaux potables de qualité; une organisation elle-même financée par la Brita Products Company, spécialisée dans la fabrication des systèmes de purification des eaux.

 

source:Yahoo.fr 

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27 décembre 2010 1 27 /12 /décembre /2010 09:15

Vivre tranquillement sans avoir à travailler... Voilà qui donne envie! Mais attention, une enquête récente montre que ceux qui ont fait de ce rêve une réalité souffrent d'une importante détérioration de leurs capacités cognitives.

L'une des plus grandes revendications des sociétés modernes est la garantie qu'on donne aux personnes d'un certain âge de pouvoir bénéficier d'un niveau de revenus raisonnable sans avoir besoin de travailler. Ainsi, ce qui pour certains est un rêve, est considéré par d'autres comme un droit garanti par la loi.

L'âge de la retraite a évolué dans le temps

Dans ce sens, les pays occidentaux les plus riches ont connu une véritable révolution. Depuis plus d'un siècle, aux Etats-Unis et en Europe, la présence des hommes de plus de 65 ans sur le marché du travail diminue. Aux Etats-Unis, à la fin des années 1800, 75% de la population masculine de plus de 65 ans continuait de travailler. En 1990, ils n'étaient plus que 16%. Ces tendances sont les mêmes en Europe.

Autre dynamique qui s'est généralisée récemment: la pression visant à abaisser toujours plus l'âge de la retraite. En Grèce - pays qui, comme chacun sait, connaît de graves difficultés économiques -, l'âge de la retraite est de 61 ans. En Allemagne, il est de 67 ans. C'est ce qui explique en partie la réticence des Allemands à financer par leurs impôts le sauvetage financier de la Grèce.

La crise financière mondiale nous oblige à modifier ces tendances. Pour beaucoup de pays, cela devient économiquement ingérable de ne pas relever l'âge de la retraite (comme en Grèce). La surprise, toutefois, est qu'un des effets non anticipés de ces décisions inévitables est l'amélioration des capacités cognitives des plus de 60 ans!

A ne pas travailler, le cerveau faiblit

C'est l'une des conclusions qui se dégagent de l'enquête de Susan Rohwedder, qui travaille pour la société RAND, et Robert Willis, chercheur à l'Université du Michigan, publiée récemment dans le Journal of  Economic Literature. Ces deux experts ont utilisé un formidable appareil analytique et statistique pour vérifier si l'adage selon lequel les muscles inutilisés s'atrophient s'appliquait également au cerveau (bien que ce ne soit pas un muscle).

Tout d'abord, ils précisent qu'il n'y a aucune preuve scientifique montrant que faire des «exercices mentaux» régulièrement (par exemple des mots croisés, des sudokus, des casse-tête; faire des jeux avec des cartes, des vidéos et d'autres activités similaires) empêche nos capacités cognitives de s'étioler à mesure que nous vieillissons. En revanche, le travail - c'est ce qu'ils veulent démontrer - aurait cet effet de stimulation.

Cette conclusion s'appuie sur l'analyse de données statistiques et sur les résultats de tests psychologiques réalisés chez des personnes âgés de plus de 60 ans aux Etats-Unis, au Royaume-Uni et dans 11 autres pays européens. Ils ont constaté, par exemple, que dans les pays où les hommes travaillent plus longtemps, les résultats des tests cognitifs sont largement supérieurs que dans des pays où la population active part à la retraite plus tôt. Aux Etats-Unis, au Danemark, en Suède ou en Suisse, où l'âge de la retraite est supérieur, les résultats aux tests cognitifs sont deux fois meilleurs que ceux de pays comme la France, l'Autriche, la Belgique et la Hollande, qui ont un âge de la retraite plus bas. L'Italie et l'Espagne occupent une position intermédiaire, se situant entre ces deux extrêmes.

Susan Rohwedder et Robert Willis ont non seulement comparé des pays où l'âge de retraite est différent, mais aussi les résultats des tests cognitifs passés par des personnes du même pays et du même âge à la retraite à ceux de personnes encore en poste. Eh bien les retraités (pour être plus précis, les «personnes qui ont cessé leur activité et perçoivent tout de même une rémunération») obtiennent des résultats 20% inférieurs à ceux des personnes du même âge qui travaillent encore.

La retraite reste un privilège!

Tout cela ne veut pas dire que prendre sa retraite est un mauvais choix ou que continuer de travailler est le plus souhaitable. La réalité économique et politique de chaque pays est souvent déterminante. Pour beaucoup, ce n'est même pas un choix, puisque leur condition les oblige à continuer de travailler, que cela leur plaise ou non. Ensuite, sur le plan individuel, les économies de chacun, le fait d'avoir des enfants, l'état de santé, la personnalité et d'autres facteurs influent sur la décision de rester ou de se retirer du marché de l'emploi.

Et puis, il y a ceux qui sont disposés à payer le prix d'une diminution de leurs capacités cognitives s'ils ne sont pas obligés de travailler. J'en fais partie.

Moisés Naím

Source:Yahoo.fr

 

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21 décembre 2010 2 21 /12 /décembre /2010 18:39

Le Prana, une énergie vitale ?

Dans le film documentaire Lumière, le réalisateur autrichien P. A. Straubinger tente de nous faire «avaler» le mythe Respirianiste, ce mouvement new age sectaire, d’inspiration orientale, dont les membres prétendent vivre sans eau et sans nourriture.

Une fable qui pourrait faire sourire, si ce mouvement n’avait pas déjà causé la mort de plusieurs adeptes. En 1999, dans les montagnes écossaises, Verity Linn, une australienne de 49 ans, avait ainsi été retrouvée morte, affamée, alors qu’elle suivait le processus respirianiste de 21 jours préconisé par Ellen Greve, alias Jasmuheen, pulpeuse gourou australienne.

Ce processus est une sorte de rituel initiatique, un jeûne extrême et dangereux devant être pratiqué dans l’isolement total (pas de visites, pas d’informations, pas de téléphone, pas de travail, ni lecture ou tout autre élément pouvant perturber cette retraite). Son but : accéder à « un état supérieur » permettant de pouvoir vivre de Lumière. Cette Lumière, appelée aussi Prana ou encore Chi, serait une sorte d’énergie vitale omniprésente qu’il suffirait d’apprendre à capter pour se débarrasser de toute contingence alimentaire.

Des expériences sujettes à caution

Un Gloubi-boulga ésotérique que prétend démontrer scientifiquement P. A. Straubinger dans son documentaire. Il s’appuie en particulier sur une pseudo-expérience menée en Inde en avril 2010 sur le yogi Prahlad Jani, qui jure n’avoir rien avalé depuis plus de 60 ans. Une équipe de médecins du Sterling Hospital d’Ahmedabad, dirigée par le docteur Sudhir V. Shah, a donc proposé d’étudier le vieil homme en l’isolant dans une chambre, sous le regard continu d’une caméra de surveillance et bien sûr, sans eau ni nourriture.

Prahlad Jani aurait ainsi tenu dix jours, à la grande surprise de l’équipe médicale. Mais l’examen des enregistrements vidéo montrent qu’à plusieurs reprises, le yogi avait quitté sa chambre, soi-disant pour aller se nourrir de Prana à l’extérieur. Il avait aussi droit de se gargariser avec de l’eau. Il a donc très certainement profité de ces moments pour s’alimenter. Très vite, l’association rationaliste indienne a crié au canular. Ses représentants n’avaient pas été autorisés à assister à l'expérience. Et on peut le comprendre. En 1999, ces infatigables sceptiques avaient déjà démonté le cas similaire de Kumari Neerja qui prétendait être la réincarnation de la déesse hindou Saraswati. Elle aussi disait n’avoir rien avalé depuis des lustres. Mais avec l’aide de la police indienne, de jeunes enquêteurs de l’association rationaliste avaient pulvérisé dans sa chambre, un gaz inoffensif provoquant des vomissements. La déesse régurgita alors des restes de patates et de chapati, le fameux pain indien.

Un médecin adepte du Jaïnisme

Autre élément suspect, le docteur Sudhir V. Shah, qui a dirigé l’expérience sur le yogi, est loin d’être neutre dans cette affaire. C’est un adepte zélé du Jaïnisme, une religion importante en Inde dans laquelle le Prana est une notion centrale. Sur son site internet, il fait du prosélytisme pour sa croyance, expliquant notamment que toute la connaissance scientifique et médicale moderne est déjà inscrite dans les textes jaïnistes vieux de plusieurs milliers d’années (www.sudhirneuro.org/jain.php).

Il est par ailleurs membre de la Fédération des docteurs jaïn (www.jaindoctorsfederation.org), dont l’une des vocations est de «promouvoir la recherche scientifique et l’éduction médicale selon les principes du Jaïnisme.» Enfin, le protocole et les résultats de son expérience sur Prahlad Jani, n’ont jamais été publiés dans une revue scientifique.

Même Jasmuheen, la bimbo emblématique du respirianisme, avait participé à une expérience similaire pour l’émission australienne 60 Minutes. Mais au bout de quatre jours, le tournage avait été interrompu car son état de santé avait été jugé inquiétant par le médecin qui la suivait.

Contrairement à de nombreuses croyances, le jeûne ne présente aucune vertu, en particulier purificatrice. «Il n’est absolument pas recommandé et peut s’avérer dangereux. Il provoque des troubles de la glycémie, des convulsions, de l'hypertension, des problèmes cardio-vasculaires, un affaiblissement du système immunitaire, mais aussi un affaiblissement général et dans certains cas un coma.

Un jeûne prolongé avec une perte de poids importante conduit à une mort certaine.» explique Véronique Coxam, directrice de recherche à l’INRA de Clermont-Ferrand et spécialiste de nutrition humaine. Un rapport de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) dénonçait en novembre dernier les risques des régimes amaigrissants. Alors promouvoir la nourriture pranique est non seulement absurde, mais criminel.

 

Source: le net (info-sectes.ch )

 


Peut-on vivre sans manger ni boire ?

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1 décembre 2010 3 01 /12 /décembre /2010 08:54

Lorsque les prévisions météorologiques annoncent que la pluie ou la neige va tomber et que les températures vont approcher du zéro degré ou même des températures négatives : les services de la commune mettent du sel sur les routes pour éviter qu'elles ne se transforment en patinoire. L'eau seule se transforme en glace dès que le zéro degré est atteint. Mais si on lui rajoute du sel, il faut des températures bien plus basses, jusqu'à -15°C, selon les quantités de sel, avant qu'elle durcisse. L'eau reste ainsi liquide alors que les températures sont négatives. Mais pourquoi le sel empêche-t-il la formation de glace ?
Lorsque l'eau se transforme en glace, elle passe de l'état liquide à l'état solide. Les molécules d'eau s'organisent de manière très particulière à l'état solide. Si l'on rajoute du sel, celui-ci s'interpose entre les molécules d'eau et les empêche de se ranger convenablement : l'eau reste alors à l'état liquide. En revanche, si la température chute encore, le rôle du sel est surtout d'accrocher les pneus ou les semelles des chaussures ! Dans ce cas, on utilise également du sable, qui sert d'abrasif.

 

Le saviez-vous ?
Les hivers très froids et enneigés, comme la France en a connu à la fin des années 1980, ont nécessité à chaque fois l'utilisation de plus d'un million de tonnes de sel sur les routes. On utilise d'ailleurs principalement du sel gemme, issus de mines de sel terrestres. Il contient des impuretés et n'est pas utilisé en alimentation où on utilise par exemple du sel produit dans les marais salants.

 

Un peu de technique:

Le sel qui est utilisé pour saler les routes est un sel grossier. La température de solidification de l'eau salée dépend de la concentration en sel de la solution. Elle est minimale (environ -20 °C) pour une proportion de sel d'environ 20%, ce minimum correspond au mélange dit « eutectique ».

Pour que le chlorure de sodium (solide) puisse se dissoudre (dans un liquide), il faut suffisamment d'énergie pour casser les liaisons électrostatiques qui maintiennent les ions Na+ et Cl- dans la forme solide. C'est une réaction chimique endothermique (3900 joules sont nécessaires par mole de sel pour le dissoudre).

Lorsqu'on met du sel dans de la neige, celui-ci va se dissoudre en puisant un peu d'énergie (chaleur latente de fusion) dans la neige, qui devient plus froide (la dissolution du sel est endothermique). Le chlorure de sodium s'associe alors avec de la glace pour former un mélange d'eau salée. La température nécessaire pour que de la glace subsiste devient donc inférieure à °C et est proportionnelle à la quantité de sel dissous (jusqu'à -21 °C pour 23% de sel en masse).

Il existe plusieurs façons de récupérer le chlorure de sodium. Dans les pays où l'ensoleillement et les températures sont suffisantes, le sel peut être extrait par évaporation grâce au système des marais salants. Une série de bassins peu profonds permettent de favoriser l'évaporation de l'eau. Le sel est de plus en plus concentré au fur et à mesure du passage de l'eau de mer dans les bassins. Dans les derniers bassins, le sel sédimente et peut être récolté par raclage.

Dans les pays froids, le système de congélation est utilisé. L'eau de mer est congelée et le sel sédimente dans la saumure de plus en plus concentrée. Lorsque la concentration est suffisante, le sel finit par précipiter.

Pour l'halite, le sel est extrait comme un minerai dans une mine souterraine si la couche est suffisamment épaisse. Mais dans la plupart des cas, le sel est mélangé ou la couche est trop fine. Aussi, pour l'extraire, de l'eau est injectée et la solution de sel est pompée à la surface.

 

Source:Infosciences et wikipedia

 

 

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24 novembre 2010 3 24 /11 /novembre /2010 20:28

Informatique 3481

.Doc ou .Docx

 

 

Un document word a toujours une "extension" .En l'occurrence depuis de nombreuses années .doc(point doc) si votre ordinateur est récent (2010) ,vous aurez pour word 2010 un fichier avec une extension .docx (point docx).Ce format ne sera pas lu sur les ordinateurs n'ayant pas word 2010.Il vous est donc conseillé si vous voulez que vos correspondant non équipés d'un "word" récent de les enregistrer en sélectionnant pour votre document word de sélectionner

"enregistrer en format word 1997 à 2003" dans le choix

qui vous est proposé.

 

Enregistrer sous

.

.

.

.

.

Ouvrir la liste déroulante (Type)

Sélectionner document word 1997.2003

Enregistrer.

Informatique 3480 

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24 novembre 2010 3 24 /11 /novembre /2010 09:56

Selon une récente étude, le timing du sommeil reflète l’intelligence: les personnes avec des QI (quotients d’intelligence) plus élevés tendent à être plus actifs la nuit et à se coucher plus tard, tandis que ceux avec des QI plus bas tendent à se coucher plus tôt.

Le manque de sommeil peut entraîner l’obésité, l’hypertension et de manière générale réduire l’espérance de vie. La somnolence réduit quant à elle la performance mentale, et est à l’origine de nombreux accident de la route par exemple. Mais les horaires du sommeil font partie des sujets qui font débat depuis quelques années, plus particulièrement la corrélation entre le moment du sommeil (plutôt le matin ou plutôt le soir) et l’intelligence, écrit le scientifique Robert Alison dans un article du Winnipeg Free Press qui fait un tour d’horizon des nombreuses publications scientifiques dédiées au sujet.

Satoshi Kanazawa et ses collègues de la London School of Economics (LSE) ont mis à jour des différences significatives dans les préférences de timing du sommeil entre les individus en fonction de leur QI. Selon Kanazawa, les humains ancestraux étaient diurnes, et l’évolution vers des activités plus nocturnes est une «nouvelle préférence de l’évolution» qui se retrouve chez les individus plus intelligents et dénote un «niveau de complexité cognitive plus élevé».

Cette étude vient plutôt à l’encontre de l’idée reçue selon laquelle «le monde appartient à ceux qui se lèvent tôt», et plusieurs études qui cherchaient à la prouver: En 2008, Marina Giampietro et son équipe avaient trouvé que les personnes «du soir» ont tendance à être moins fiables, moins stables émotionnellement, et plus enclins à souffrir de dépression, d’addictions ou de troubles du comportement alimentaire. Des chercheurs de l'Université de Columbia ont également trouvé que se coucher tard et dormir peu rend les adolescents plus susceptibles de basculer dans la dépression et même de faire des tentatives de suicides.

Le site du Christian Science Monitor propose un quizz pour savoir à quelle catégorie, des oiseaux de nuits ou des alouettes du matin, vous appartenez. Pour rassurer ceux qui se sentent coupables de faire la grasse matinée, le site Wired avait quant à lui déjà listé en 2008 trois avantages de dormir tard: nous avons en général besoin de plus de sommeil que ce que nous pensons, les personnes qui sont «du soir» sont plus créatives (citant encore une étude de Marina Gampietro) et se réveiller trop tôt est plus stressant (l’hormone du stress, le cortisol, est en plus grande quantité dans le corps à 7 heures du matin).

Source:Yahoo.fr

 

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22 novembre 2010 1 22 /11 /novembre /2010 10:11

OK est formé de deux lettres et est le mot américain le plus utilisé dans le monde. Vous avez trouvé? OK, c’était facile. Allan Metcalf retrace le voyage de ce mot crée par un journaliste et devenu une expression qui se greffe dans les conversations de tous les jours dans un livre, «OK, l’improbable histoire du plus grand mot américain».

Le mot «OK» est tellement omniprésent, utile et simple qu’on a l’impression qu’il a toujours existé, écrit Mark Peters dans Good. Il est difficile d’imaginer comment nous avons pu parlé et écrire sans ces deux lettres, et pourtant, «OK» n’a que 162 ans.

L’origine de «OK» commence par une blague, l’abréviation de «all correct» créée par Charles Gordon Greene in 1839 dans le «Boston Morning Post», avec une grosse dose d’humour, ce qui aurait dû lui assurer une carrière courte et limitée dans l’espace. Mais son appropriation lors d’une campagne présidentielle en 1840 lui assura le début du succès. (Sauf pour le candidat qui ne fut pas OK).

Le «OK» se répandra comme une traînée de poudre le long des fils du télégraphe, ponctuant les messages, comme une forme précoce des LOLs et des OMGs que nous utilisons aujourd’hui, précise NPR, la radio publique américaine qui a interrogé Metcalff.

Comme tous mots à succès, poursuit Peters, «OK» fera des enfants. On dira «okey-doke» dans les années 20  et «okey-dokey» dans les années 30, les astronautes de la Nasa lui accoleront un A parce qu’il leur était plus facile à comprendre que le seul OK lors des conversations radios. Bizarrement, l’histoire du mot OK se perdra quelques décennies — le président Woodrow Wilson pensait qu’il venait d’un mot indien qui s’épelait «okeh» et qui aurait été l’équivalent de OK— avant d’être exhumée dans les années 60.

Ce qui a fait son succès, aux Etats-Unis et dans le monde, estime Peters, c’est son adaptabilité et sa flexibilité dans la forme (il peut être un nom, un verbe, un adjectif, une interjection…) et dans le sens, une forme de oui, sans être une totale reddition.

Metcalff estime même que le «OK» a façonné l’Amérique, symbolise la tolérance de son pays et l’acceptation de la différence de l’autre : «Si quelque chose est OK, c’est OK, ça veut dire que ça fonctionnera, ça serait peut-être pas parfait, mais ça fonctionnera, c’est une attitude très américaine». Un tel succès et un tel mérite bien une fête, dit-il, proposant que le 23 mars, jour anniversaire de la première publication des deux lettres, devienne le jour du OK. OK?

 

Source:Yahoo.fr

 

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Citations

  Rives des songes.MFD.Jipé (2)

Parc du Chateau de la Motte TILLY

 

 

La reconnaissance vieillit vite.

Aristote 

 

J’ai fait un rêve dans le temps passé
Quand l’espoir était brillant
Et que la vie valait la peine d’être vécue
J’ai rêvé que l’amour ne mourrait jamais.
Les misérables

 

Pensées du jour

La patience guide l'espoir en terrain inconnu.
 
L'espoir est une lumière dans un océan de ténèbres.
 
BSS.CB.JP (13)
 
Quand il n'y a plus d'espoir il y a encore un petit espoir
 
 
 
 
 
 

Le champ du monde

 

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