13 mars 2009 5 13 /03 /mars /2009 21:47


Lorsque je lève les yeux,
Je rencontre le ciel
Et je me dis : "Mon Dieu,
Mais c'est sensationnel,
Tant de bleu."
Lorsque je lève les yeux,
Je rencontre tes yeux
Et je me dis : "Mon Dieu,
C'est vraiment merveilleux,
Tant de bleu."

Plus bleu que le bleu de tes yeux,
Je ne vois rien de mieux,
Même le bleu des cieux.
Plus blond que tes cheveux dorés
Ne peut s'imaginer,
Même le blond des blés.
Plus pur que ton souffle si doux,
Le vent, même au mois d'août,
Ne peut être plus doux.
Plus fort que mon amour pour toi,
La mer, même en furie,
Ne s'en approche pas.
Plus bleu que le bleu de tes yeux,
Je ne vois rien de mieux,
Même le bleu des cieux.

Si un jour tu devais t'en aller
Et me quitter,
Mon destin changerait tout-à-coup
Du tout au tout.

Plus gris que le gris de ma vie,
Rien ne serait plus gris,
Pas même un ciel de pluie.
Plus noir que le noir de mon cœur,
La terre en profondeur
N'aurait pas sa noirceur.
Plus vide que mes jours sans toi,
Aucun gouffre sans fond
Ne s'en approchera.
Plus long que mon chagrin d'amour,
Même l'éternité
Près de lui serait court.
Plus gris que le gris de ma vie,
Rien ne serait plus gris,

Pas même un ciel de pluie.

On a tort de penser, je sais bien,
Aux lendemains.
A quoi bon se compliquer la vie
Puisqu'aujourd'hui...

Plus bleu que le bleu de tes yeux,
Je ne vois rien de mieux,
Même le bleu des cieux.
Plus blond que tes cheveux dorés
Ne peut s'imaginer,
Même le blond des blés.
Plus pur que ton souffle si doux,
Le vent, même au mois d'août,
Ne peut être plus doux.
Plus fort que mon amour pour toi
La mer, même en furie,
Ne s'en approche pas.
Plus bleu que le bleu de tes yeux,
Je ne vois que les rêves
Que m'apportent tes yeux...

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3 mars 2009 2 03 /03 /mars /2009 18:44
Les quatre bougies


Les quatre bougies brûlaient lentement. L’ambiance était tellement silencieuse qu’on pouvait entendre leur conversation.

La première dit : ’’ Je suis la Paix ! Cependant personne n’arrive à me maintenir allumée. Je crois que je vais m’éteindre.’’ Sa flamme diminua rapidement, et elle s’éteignit complètement.

La deuxième dit : ’’ Je suis la Foi ! Dorénavant je ne suis plus indispensable, cela n’a pas de sens que je reste allumée plus longtemps.’’ Quand elle eut fini de parler, une brise souffla sur elle et l’éteignit.

Triste, la troisième bougie se manifesta à son tour : ’’ Je suis l’Amour ! Je n’ai pas de force pour rester allumée. Les personnes me laissent de côté et ne comprennent pas mon importance. Elles oublient même d’aimer ceux qui sont proches d’eux.’’ Et, sans plus attendre, elle s’éteignit.

Soudain... un enfant entre et voit les trois bougies éteintes. ’’ Pourquoi êtes-vous éteintes ? Vous deviez être allumées jusqu’à la fin’’ En disant cela, l’enfant commença à pleurer.

Alors, la quatrième bougie parla : ’’ N’aie pas peur, tant que j’ai ma flamme nous pourrons allumer les autres bougies, je suis l’Espérance ! ’’

Avec des yeux brillants, l’enfant prit la bougie de l’Espérance... et alluma les autres.

Que l’Espérance ne s’éteigne jamais en nos coeurs et que chacun de nous puisse être l’outil nécessaire pour maintenir l’Espérance, la Foi, la Paix et l’Amour !

 

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2 mars 2009 1 02 /03 /mars /2009 23:16

Je ne peux changer autrui,
mais je peux toujours changer
ma relation à lui.

De même, je ne peux changer
mon passé mais je peux changer
ma relation à mon passé et mon
regard sur lui.

Car si j'ai peu de prise ou d'influence sur ce qu'on a fait (ou pas fait)
de moi, je suis bien responsable
de ce que je fais avec ce qu'on a fait (ou pas fait) de moi.

 

Jacques Salomé

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1 mars 2009 7 01 /03 /mars /2009 23:29

Un vieux fermier possédait un vieux cheval avec
lequel il labourait ses champs.
Un jour le cheval s'enfuit vers les collines.

Aux voisins qui le prenaient en sympathie,
le vieillard répondit:
" Chance ou malchance, qui peut le dire ? "

Une semaine plus tard, le cheval revint des collines
avec un troupeau de chevaux sauvages,
et les voisins félicitèrent le fermier pour sa bonne chance.

Il répondit encore :
" Chance ou malchance, qui peut le dire ? "

Puis, lorsque son fils, voulant dompter
un des chevaux sauvages, fit une chute et se brisa la jambe,
tout le monde crût que c'était une grande malchance.

Le fermier, lui, se contenta de dire :
" Chance ou malchance, qui peut le dire ? "

Quelque semaines plus tard, l'armée entra dans le village,
et mobilisa tous les jeunes gens valides.
Quand ils aperçurent le fils du fermier avec sa jambe cassée,
ils le dispensèrent du service.

Etait-ce de la chance ? de la malchance ? qui peut le dire ?

Tout ce qui à première vue peut être un mal, peut, en fait,
être un bien déguisé.
Et tout ce qui à première vue semble un bien,
peut en réalité être un mal.

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22 février 2009 7 22 /02 /février /2009 13:51


Par Bernard Werber




" Il n’y a pas besoin de vous présenter, vous vous connaissez depuis longtemps.
Elle est tout ce que tu as toujours cherché.
Tu admires chacun de ses traits. Son regard.
Son sourire.
Cette manière de se tenir.
Cette tranquillité d’esprit qui rejoint celle que tu as en ce moment précis.
Tu apprécies son parfum.
Tu aimes la chaleur de sa voix, tu la rejoins.
Tu la touches à l’épaule.
Et son contact provoque une petite décharge électrique. Sa peau est douce et ferme. Tu lui demandes qui elle est.
Elle préfère te dire qui tu es " toi ".
Elle te parle de toi et tu es étonné qu’elle en sache autant sur tes secrets les plus intimes.
Elle prend un petit air mutin qui te fait fondre.
Elle te dit qu’elle apprécie autant tes qualités que tes défauts. Elle te signale qu’elle même n’est pas une perfection.
 Elle est " l’imperfection adaptée à ta propre imperfection ".

Ensemble, vous vous complétez.
Elle te parle de cette théorie antique qui prétend que, jadis, les êtres humains avaient deux têtes, quatre bras , quatre jambes et qu’ils ont été séparés.
" Depuis, on est tous à la recherche de notre moitié perdue ", dit-elle.
Tu l’enserres.
Vous vous embrassez longuement.
Vos corps se touchent et reforment cet être complet de quatre bras, quatre jambes, deux têtes. [...] Puis elle se dégage pudiquement et t’éclabousse en riant.
Tu hésites, puis tu l’éclabousses en retour.
Vous jouez comme des enfants.
Soudain, elle s’arrête, redevient sérieuse.
Vous vous séparez. Vos doigts se frôlent une dernière fois.
 Elle te dit qu’il est temps de continuer ton chemin [...].
Tu insistes pour qu’elle reste avec toi.
Elle te fait clairement comprendre que les êtres humains ne sont pas des biens à posséder. Il faut laisser les gens venir et repartir à leur gré. Même elle ? Surtout elle.

La plus grande preuve d’amour que tu puisses lui donner est de lui laisser sa liberté. "



Source:http://www.predication.org
Site Dominicains de Belgique.

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22 février 2009 7 22 /02 /février /2009 13:24

 

 

Par Maurice Bellet

Je t’aime,

Autrement dit je me réjouis que tu sois ce que tu es ;
et je ferai tout pour que tu le deviennes davantage.

 

Par Ancelle
Le courant.


Qui l’a senti passer ne peut plus l’oublier. Il va d’un pôle à l’autre.
Enrichissant l’un, de ce que l’autre perd pour devenir lumière...
Courant continu entre pôles de signes contraires qui va de toi, homme,
à moi femme. Tel est l’amour.

En me livrant, je t’attire. Et tu me donnes de ta substance,
en accueillant mon offrande. Côte à côte étendus, êtres de chair et de sang,
de feu et de cendre. Nous sommes deux : deux qui se sont trouvés, et qui,
de ce fait, ne seront plus jamais comme deux êtres quelconques,
mais comme un seul.

Parce que j’ai pénétré, un jour, aux profondeurs de ton être,
j’aspire à les retrouver, et parce que tu as goûté mon fruit secret,
tu ne peux plus t’en passer.

Nos lèvres se cherchent, nos corps s’étreignent. Lierre et tronc,
irrémédiablement enlacés. Un feu unique les consume, braise ardente du foyer.


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Par Colette Nys-Mazure


L'admiration

 

Comment cultiver la légèreté, l’allégresse ? Cicatriser sans nier,
renier la blessure ? Se délivrer des chaînes les plus pesantes,
comme des plus subtiles, celles dont on se libère en arrachant un peu de chair ?
Faire fi de l’expérience aigre ou satisfaite. Passer l’éponge sur l’ardoise.

Le secret serait-il de renouveler à chaque aube le voeu de bonté ?

Bienveillance, préjugé favorable, oubli de l’offense, générosité et magnificence,
aisance et grâce. Aller vers ce qui vient, les mains nues, le coeur simple,
sans anxiété ni impatience.

La joie du vif plutôt que le poids du mort.

Il se peut que nous ne soyons vraiment nous-mêmes que dans l’émerveillement,
l’éloge, la reconnaissance. Là s’exprime le meilleur de notre être, ce qui chante,
s’ouvre et va à la rencontre de Celui qu’on ne peut nommer.

L’admiration n’est qu’un des noms de l’Espérance, une petite voie d’Espérance.
Sortir du moi, souvent étroit et sombre, pour se laisser saisir par l’admiration.
 Décaper l’être de la couche d’usage et d’usure afin de contempler ce qui
se présente de beau aux yeux éteints, habitués. Admirer le lever du jour,
à chaque jour inimaginablement neuf, l’éveil des couleurs ; le jeu des saisons,
les météores. Accueillir comme merveille le premier visage : le très familier,
si proche qu’on ne le voyait plus.

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Source: http://www.predication.org

les dominicains de Belgique-Sud

 

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22 février 2009 7 22 /02 /février /2009 13:14


Par A. de Saint-Exupéry


"Bonjour, dit le petit prince.

  Bonjour, dit le marchand."

C’était un marchand de pilules perfectionnées
qui apaisent la soif. On en avale une par semaine
et l’on n’éprouve plus le besoin de boire.
"Pourquoi vends-tu ça ?
dit le petit prince.

  C’est une grosse économie de temps, dit le marchand.
Les experts ont fait des calculs. On épargne
cinquante-trois minutes par semaine.

  Et que fait-on de ces cinquante-trois minutes ?

  On en fait ce que l’on veut..."

"Moi, se dit le petit prince, si j’avais
cinquante-trois minutes à dépenser, je marcherais tout doucement vers une fontaine..."


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22 février 2009 7 22 /02 /février /2009 12:17

Définitions

 

  

........Du verbe Aimer Par Saint Augustin


Ce court précepte t’est donné une fois pour toutes :

Aime et fais ce que tu veux. Si tu te tais, tais-toi par amour,
Si tu parles, parle par amour, Si tu corriges, corrige
par amour, Si tu pardonnes, pardonne par amour.

Aie au fond du coeur la racine de l’amour :
De cette racine, rien ne peut sortir de mauvais.

 

 

 

........Du bonheur Par Victor Frank


J’avais enfin découvert la vérité, la vérité telle qu’elle est proclamée
dans les chants des poètes et dans les sages paroles des philosophes :
 l’amour est le plus grand bien auquel l’être humain peut aspirer.

Je comprenais enfin le sens de ce grand secret de la poésie et
de la pensée humaine : l’être humain trouve son salut à travers
et dans l’amour. Je me rendais compte qu’un homme à qui
il ne reste rien peut trouver le bonheur, même pour de brefs instants,
dans la contemplation de sa bien-aimée.

 

 

.........De l'instant de bonheur

Par Yves Simon

"On aurait envie que tout cela se passe sur un bord de mer, qu’il y ait des
cris de mouettes, du flux et du reflux, des amants qui courent sur une plage
 avec un chien et un cerf-volant. Qu’il y ait encore une odeur de gaufres
mêlée à celle de l’iode et de l’eau, des cabans qui se boutonnent et
des hôtels comme des paquebots avec les volets clos.
Que ce soit un somptueux jour d’hiver avec le monde tout autour
de ce décor de vagues et nous, à l’intérieur, pour se dire que rien ne
vaudra jamais cet instant et effacer l’illusion du bonheur à venir,
d’un bonheur à prendre, car il est là,, dans son sarcophage d’or
et de transparence, afin que chacun puisse y vivre une once d’espace
et de temps et dire ensuite à ses parents, à ses enfants, à ceux
qui écoutent et sourient, prêts à partager, dire à ceux-là et
même aux affreux-méchants-arrogants : je peux en parler, je l’ai trouvé.
C’était un jour d’hiver, sur une plage, il y avait des mouettes de cinéma,
des cabans et des hôtels morts...

Je pense que le bonheur est une surprise. Attendu toujours, mais ne survenant que lorsque la pensée s’est déprise de toute actualité, il est la divine récompense.
Sans préméditation, le boulever-sement qu’il provoque est tel que chacun,
lorsqu’il se manifeste, veut le prolonger à tout prix..."


.......De la tendresse Par Hermann Hesse

La tendresse est plus forte que la dureté,

l’eau est plus forte que le rocher,

l’amour est plus fort que la violence.



........De l'espoir par Marc de Smedt

C’est quoi l’espoir ?

La petite lumière vacillante au fond du tunnel de nos âmes quand il y fait noir,
 tout noir.

Edmond Rostand, nous donne un conseil fulgurant :
"C’est la nuit qu’il est beau de croire à la lumière !". Dans la guerre,
dans le deuil, dans la souffrance, dans la solitude et la tristesse,
c’est parce que l’on sait garder espoir que l’on réussit à sortir du trou.

C’est parce que des hommes, des femmes, des enfants ne perdent pas
espoir dans leurs heures les plus noires que l’humanité évolue,
comme guidée par ce flambeau invisible qui est au fond de nos coeurs.

Seulement l’espoir est comme une plante, il se cultive, il a besoin de soins :
c’est la petite fleur sur son astre désert qu’arrose sans cesse
le Petit Prince afin qu’elle vive et qu’elle soit un témoin d’amour.
Par l’attention qu’on porte aux choses,aux êtres, aux situations et à soi-même,
l’évolution se féconde,
le progrès germe graduellement et la création finit par refleurir.

Mais l’espoir d’une vie meilleure ne suffit pas :
il faut forger cette existence qu’on souhaite et cesser de la rêver ;
 il faut se former soi-même.

Garder espoir, c’est toujours faire un pas de plus, quelle que soit
 la détresse, quel que soit l’obstacle. L’espoir c’est aussi la confiance
que l’on a dans la vie.

La puissance de cet espoir intérieur transforme les imperfections
en énergie positive. On s’aperçoit alors qu’en cela espoir
rime bien avec voir et... se voir.

Enfin l’espérance se partage : il est des trésors en chaque être,
il faut savoir les découvrir. Car avoir l’espoir c’est aussi savoir sourire.


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15 février 2009 7 15 /02 /février /2009 12:29

Le poltron est il prudent ou le prudent est il poltron?

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La prudence surpasse les autres vertus comme la vue surpasse les autres sens.

Bion de Phlossa


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L'homme courageux n'abrège point sa vie en affrontant les dangers. Le poltron ne la conserve point en multipliant les précautions.
Abü al-'Alä Al-Ma'Arrï


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A votre avis ?





Le poltron se dit prudent et l'avare économe.

 Publius Syrus

 

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3 février 2009 2 03 /02 /février /2009 11:58

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Bonjour à tous. Il vous est sûrement arrivé d'avoir un "regret" qui plus tard à changer votre vie. Ce regret,on a put vous le suggérer et l'amplifier ………..pour vous faire encore plus regretter de ne pas avoir fait à temps l'action ou le geste. Parlez en,c'est vous le rédacteur de cet article.

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Si cette page ne se couvre pas de commentaires ,en toute bonne logique c'est que personne n'a de regrets .....................................
...............................................................................à part Moi.
Félicitation,je savais ne pas être comme tout le monde,mais à ce point là,chapeau.Remarquez j'aurai fait pareil,mais maintenant j'en ai un..............quoi!!!!!! Oui je dis bien 1.

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Citations

  Rives des songes.MFD.Jipé (2)

Parc du Chateau de la Motte TILLY

 

 

La reconnaissance vieillit vite.

Aristote 

 

J’ai fait un rêve dans le temps passé
Quand l’espoir était brillant
Et que la vie valait la peine d’être vécue
J’ai rêvé que l’amour ne mourrait jamais.
Les misérables

 

Pensées du jour

La patience guide l'espoir en terrain inconnu.
 
L'espoir est une lumière dans un océan de ténèbres.
 
BSS.CB.JP (13)
 
Quand il n'y a plus d'espoir il y a encore un petit espoir
 
 
 
 
 
 

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