24 mai 2008 6 24 /05 /mai /2008 10:43
Photo de Michka.Reproduction interdite

Un petit garçon demanda à sa mère :
- Pourquoi pleures-tu ?
- Parce que je suis une femme, lui répondit-elle.
- Je ne comprends pas, dit-il.

Sa mère le prit dans ses bras et lui dit :
- Et jamais tu ne comprendras.

Plus tard le petit garçon demanda à son père :
- Pourquoi maman pleure-t-elle ? Je ne comprends pas !
- Toutes les femmes pleurent sans raison, fut tout ce que son père put lui dire.

Devenu adulte, il demanda à Dieu :
- Seigneur, pourquoi les femmes pleurent-elles aussi facilement ?

Et Dieu répondit :
- Quand j'ai fait la femme, elle devait être spéciale.
J'ai fait ses épaules assez fortes pour porter le poids du monde ;
et assez douces pour être confortables.
Je lui ai donné la force de donner la vie,
et celle d'accepter le rejet qui vient souvent de ses enfants.

« Je lui ai donné la force pour lui permettre de continuer quand tout le monde abandonne,
et celle de prendre soin de sa famille en dépit de la maladie et de la fatigue.
Je lui ai donne la sensibilité pour aimer ses enfants d'un amour inconditionnel,
même quand ces derniers l'ont blessée durement.

« Je lui ai donné la force de supporter son mari dans ses défauts
et de demeurer à ses côtés sans faiblir.
Et finalement je lui ai donné des larmes à verser quand elle en ressent le besoin.

« Tu vois mon fils, la beauté d'une femme n'est pas dans les vêtements qu'elle porte,
ni dans son visage, ou dans la façon de se coiffer les cheveux.
La beauté d'une femme réside dans ses yeux.
car c'est la porte d'entrée de son coeur - le lieu où réside l'amour.
Et c'est souvent par ses larmes que tu vois passer son coeur.

« Toutes les femmes sont belles,
et nous devons les encourager à s'aimer telles qu'elles sont
et à avoir une juste estime d'elles-mêmes. »

Anonyme

Source texte:Internet et une gentille visiteuse de mon blog pour l'idée

Source photo: http://www.michel-sazarin.com/

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21 avril 2008 1 21 /04 /avril /2008 11:24

SAINTE ÉDITH
Vierge, Princesse d´Angleterre
(†107)

Édith vint au monde en 961. Elle était fille naturelle du roi Edgar. Ce prince l´avait eue d´une dame illustre par sa naissance, qu´il avait enlevée, et qui se nommait Wulfride ou Wilfrith. Sa femme étant morte, il voulut épouser celle qu´il avait déshonorée; mais Wulfride ne voulut point y consentir, et alla même prendre le voile dans le monastère de Wilton, dont elle devint abbesse peu de temps après. Elle voulut se charger elle-même du soin d´élever Édith, sa fille, qui par là fut arrachée à la corruption du monde, avant d´en avoir ressenti les effets. C´est ce qui a fait dire au rédacteur du martyrologe romain, en parlant de notre Sainte, que, «s´étant consacrée à Dieu dès son enfance, elle avait moins quitté le monde qu´elle ne l´avait ignoré»: ignorance infiniment précieuse, et qui est le plus sûr moyen de vivre dans une parfaite innocence.

La jeune princesse profita si bien des exemples et des instructions de sa mère, qu´elle se fit religieuse dans le même monastère. Elle faisait l´office de Marthe à l´égard de toutes les religieuses et des externes, et les fonctions de Marie à l´égard de Notre-Seigneur; car, sans considérer sa naissance, elle s´appliquait aux plus vils ministères de la maison, assistait les malades, et se faisait la servante des étrangers et des pauvres. Elle fonda pour eux, près de son monastère un hôpital pour en entretenir toujours treize. Secourant de ses aumônes et de ses soins ceux qu´elle savait être dans l´indigence, elle cherchait les affligés pour leur donner de la consolation, et aimait mieux converser avec les lépreux, qui sont abandonnés de tout le monde, qu´avec les premiers princes du royaume. Plus les personnes étaient rebutées des autres à cause de leurs infirmités, plus elles étaient bienvenues auprès d´elle; en un mot, Édith était incomparable dans son zèle à rendre service à son prochain. L´abstinence faisait ses plus grandes délices, et elle fuyait autant les viandes délicates que les autres les recherchent avec empressement, joignant à cette mortification celle d´un rude cilice qu´elle portait sur sa chair nue, afin de réprimer de bonne heure les mouvements de la nature. Telle fut la vie de cette jeune princesse jusqu´à l´âge de quinze ans.

Le roi informé de tant de belles qualités de sa fille, voulut la faire abbesse de trois monastères; mais elle le remercia, et se contenta de lui proposer pour cela des religieuses que son humilité lui faisait juger beaucoup plus capables qu´elle d´occuper ces places. Elle ne put se résoudre à quitter une maison où elle avait déjà reçu tant de grâces; elle aima mieux obéir que commander, et demeurer sous la conduite de sa mère, que d´être chargée de la conduite des autres. Mais son humilité parut bien davantage lorsqu´elle refusa la couronne d´Angleterre; car après la mort de saint Édouard II que l´Église honore comme un martyr, les seigneurs vinrent la trouver pour lui présenter le sceptre, et employèrent toutes les raisons possibles, et même tentèrent les voies de la violence pour l´obliger de l´accepter. Elle leur résista toujours généreusement, et l´on aurait plutôt transmué les métaux, dit son historien, que de la retirer de son cloître, et de lui faire quitter la résolution qu´elle avait prise d´être toute sa vie dévouée au service de Dieu.

Elle avait fait bâtir une église en l´honneur de saint Denis; elle pria saint Dunstan d´en faire la dédicace. Pendant la solennité de la messe, ce saint prélat eut la révélation que la mort de la jeune princesse, qui n´avait encore que vingt trois ans, arriverait au bout de quarante jours. Cette nouvelle attendrit son coeur et tira de ses yeux des torrents de larmes: «Hélas!» dit-il à son diacre qui lui demanda le sujet de sa tristesse, «nous perdrons bientôt notre bien-aimée Édith; le monde n´est plus digne de la posséder. Elle a, en peu d´années, acheté la couronne qui lui est préparée dans les cieux. Sa ferveur condamne notre lâcheté; notre vieillesse n´a pu encore mériter cette grâce; elle va jouir des clartés éternelles, et nous demeurons toujours sur la terre dans les ténèbres et les ombres de la mort». S´étant aperçu, durant la cérémonie, que la Sainte faisait souvent le signe de la croix sur le front, il dit aussi par un esprit de prophétie: «Dieu ne permettra pas que ce pouce périsse jamais».

L´événement vérifia l´une et l´autre de ces deux prédictions; car, au bout de quarante jours, le 16 septembre 984, elle rendit son âme dans la même église, entre les mains des anges, qui honorèrent son décès de leur présence et d´une mélodie céleste; et ce même pouce, dont elle s´était tant de fois servie pour former sur elle le signe de la croix, fut trouvé treize ans après sa mort sans aucune marque de corruption, quoique tout le reste de son corps fût presque entièrement réduit en cendres. Cette église de Saint-Denis, qu´elle avait souvent visitée et arrosée de ses larmes pendant sa vie, lui servit de sépulture. Trente jours après son décès, elle apparut à sa mère avec un visage serein et tout lumineux, lui disant que le Roi des anges, son cher Époux, l´avait mise dans Sa gloire; que Satan avait fait tout ce qu´il avait pu pour l´empêcher d´y entrer, en l´accusant devant Dieu de plusieurs fautes; mais que, par le secours des saints Apôtres, et par la vertu de la croix de son Sauveur Jésus, elle lui avait écrasé la tête, et, en triomphant de sa malice, l´avait envoyé dans les enfers.

Plusieurs miracles ont été opérés par ses mérites. Nous rapporterons seulement l´exemple suivant, qui montre combien pèchent ceux qui usurpent les biens de l´Église. Un homme s´étant approprié une terre de sainte Édith, tomba tout à coup malade, qu´on le crut mort sans avoir eu le temps de faire pénitence. Mais un peu après, étant revenu à lui, il dit aux assistants: «Ah! mes amis, ayez pitié de moi et secourez-moi par la ferveur de vos prières; l´indignation de sainte Édith contre moi est si grande que, pour me punir de l´usurpation que j´ai faite d´une terre qui lui appartenait, elle chasse mon âme malheureuse du ciel et de la terre. Il faut que je meure, et cependant je ne puis mourir. Je veux réparer mon injustice, et restituer à l´Église le bien que je lui ai ravi». Il n´eut pas plus tôt témoigné cette bonne volonté, qu´il expira paisiblement. On la représente tenant d´une main une bourse, et de l´autre une pièce de monnaie, pour marquer son grand amour pour les pauvres.

 

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29 février 2008 5 29 /02 /février /2008 22:01
49 disques d'or.............quand même!
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3 février 2008 7 03 /02 /février /2008 20:33

Vous savez tous que pour remercier une personne il est d'usage sur le "wouaib" de faire un lien vers son blog.Dracip n'étant pas comme les autres,a décidé de mettre un lien et..............................son portrait.
C'est une artiste de valeur et d'une gentillesse infinie,elle mérite les fleurs virtuelles que je lui envoie.







Pour voir son site Cliquez sur la banniere



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Ci dessous deux exemples de son travail

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Dessins "empruntés" avec l'autorisation de l'artiste.

Pourquoi un article?
Sabine Biazot m'a exécuté un petit travail de dessin dont je n'osais lui demander.Un jour quand même je me suis décidé,et à mon grand étonnement,ne connaissant pas la personne,elle a accepté spontanément et avec une gentillesse remarquable.Tout travail mérite salaire,et je pense qu'avec le nombre de dessins exécutés par gentillesse pour les adeptes d'over-blog,elle doit avoir une maison pleine de souvenirs de "client amateur de dessin".Un auteur a dit "La reconnaissance vieillit vite",j'espère pour elle que la reconnaissance n'a pas eu le temps de vieillir,ce qui serait un manque de tact et d'éducation.Merci Sabine.

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La reconnaissance vieillit vite.

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