29 novembre 2007 4 29 /11 /novembre /2007 12:36

Pour se faire une idée,plusieurs articles qui à mon idée sont assez sur la meme ligne.Ma conclusion à moi,le concepteur de cette page,de "tout un peu".

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                              chocolat     chocolat

Les produits légers et allégés ?

Souci de poids, envie de surveiller son alimentation, idées reçues, voici quelques réponses aux questions les plus courantes concernant les produits allégés et leur utilisation.

Léger, allégé, light, est-ce la même chose ?

Non, léger et light ne sont pas des dénominations réglementées mais des arguments commerciaux qui signifient que les produits sont moins gras et/ou moins sucrés que les produits classiques.

Les "allégés" ont, eux, l’obligation de mentionner le pourcentage de réduction sur leur étiquetage. Néanmoins, il faut garder à l’esprit que certains produits même allégés restent malgré tout très caloriques. Les chips en sont un bon exemple.

Les produits allégés ou légers font-ils maigrir ?

Les produits allégés sont en principe des produits traditionnels dont les teneurs en sucre et/ou en graisses ont été réduites, ce qui diminue leur valeur calorique. On trouve ainsi dans le commerce des laitages écrémés, des sauces allégées en graisses, des boissons “light” édulcorées, des plats cuisinés pauvres en calories… Tous ces produits peuvent être une aide dans le cadre d’une alimentation contrôlée pour perdre du poids. Mais, à eux seuls, ils ne permettent pas de maigrir. Si l’on ne contrôle pas le reste de son alimentation, prendre des aliments allégés à un repas ne servira pas à grand chose, surtout si l’on en consomme plus.

Peut-on consommer des produits "sans sucre" lors d’un régime ?

La mention sans sucre signifie que le produit ne contient pas de saccharose (sucre de cuisine). Celui-ci est souvent remplacé par des polyols comme dans le cas des chewing-gums et des bonbons. Tous ces produits apportent des calories.

Un yaourt à 0 % de matières grasses est-il indiqué dans un régime amaigrissant ?

En cas de régime amaigrissant, on peut consommer des yaourts natures et non sucrés et pas nécessairement les yaourts à 0 % MG. Un yaourt nature classique (au lait ½ écrémé) apporte 1 g de lipides (soit 9 kcalories) de plus qu’un yaourt écrémé. Ces différentes sortes de yaourt ont la même teneur en protéines et en calcium, ce qui est important dans un régime.

Une sauce de salade allégée contient-elle beaucoup moins de matières grasses qu’une sauce normale ?

Tout à fait. Une partie des matières grasses a été remplacée par de l’eau. Une sauce vinaigrette courante contient 75 % d’huile au minimum, une vinaigrette allégée 25 à 50 %.

Le chocolat light est-il moins calorique qu’un chocolat classique ?

Curieusement non. Il n’a de light que le nom. Le sucre est remplacé par des polyols et quelquefois par des graisses. Le chocolat est alors aussi calorique qu’un chocolat normal, voire plus.

L’aspartame est-il dangereux pour la santé ?

Récemment, des rumeurs ont circulé faisant étant d’éventuels risques encourus par la consommation d’aspartame.

Selon la législation européenne, l’aspartame est classé comme additif alimentaire et, en tant que tel, a subi des tests rigoureux ainsi qu’une évaluation de son innocuité avant son autorisation. Il a été déclaré sans danger pour le grand public, y compris pour les diabétiques et les femmes enceintes.

Peut-on utiliser de l’aspartame pour cuisiner ?

Non, l’aspartame perd de son pouvoir sucrant à la chaleur, on ne peut pas l’utiliser pour la cuisson. Il est donc nécessaire d’utiliser d’autres édulcorants si l’on veut préparer des desserts.

Peut-on donner des boissons contenant des édulcorants aux enfants ?

Lorsque les enfants ou les adolescents consomment de grandes quantités de boissons sucrées, il est souhaitable de diminuer les apports en sucre, ce que permettent les édulcorants sans changer le goût du produit. Néanmoins, dans l’idéal, il est préférable de ne pas habituer précocement les enfants à consommer de grandes quantités de produits sucrés.

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Mangez du chocolat noir, c'est bon pour le coeur !

Caroline Lepage

Bonne nouvelle pour notre cœur… et nos papilles. Une étude récente révèle que la consommation de chocolat noir permet une meilleure dilatation des vaisseaux, et donc une meilleure circulation du sang. La faute aux flavonoïdes ?

Des scientifiques de San Francisco viennent de démontrer, une fois n'est pas coutume, les bienfaits du chocolat noir. Leur expérience s'est étalée sur 2 semaines : 21 volontaires devaient absorber, quotidiennement, 46 grammes de chocolat noir. 11 d'entre eux recevaient du chocolat riche en flavonoïdes ; les 10 autres, la même gourmandise, mais avec un contenu en flavonoïdes bien inférieur.

Les 11 volontaires, qui avaient consommé le chocolat noir riche en flavonoïdes, présentaient après les 15 jours de l'expérience, une meilleure dilatation artérielle, sans augmentation de leur taux de cholestérol ! Par ailleurs, des analyses sanguines mettaient en évidence une montée en flèche du taux d'épicatéchine (8 fois supérieur au taux initial), un flavonoïde particulier.

« Il est probable que les taux élevés d'épicatéchine dans le sang déclenchent la libération de substances actives qui dilatent les vaisseaux, ou favorisent l'afflux de sang dans les artères » suppose Mary Engler, auteur de l'étude publiée dans le numéro de juin du Journal of the American College of Nutrition, spécialisée en physiologie à l'Université de Californie.
« A ce jour, c'est le plus long essai clinique montrant une amélioration de la fonction des vaisseaux sanguins par une consommation quotidienne de chocolat noir riche en flavonoïdes sur une période prolongée » explique la scientifique.

Ces fameux flavonoïdes sont déjà célèbres pour leurs propriétés antioxydantes, et leurs effets bénéfiques sur le système cardiovasculaire. En effet, ils diminuent l'oxydation du ‘mauvais' cholestérol (lequel a habituellement tendance à se déposer à l'intérieur des artères), limitent l'apparition de caillots dans le sang en inhibant l'agrégation des plaquettes, etc. Bref, ces molécules bienveillantes réduisent le risque d'être victime d'un infarctus ou d'un accident cérébral, rien que cela !

« Beaucoup de gens ne réalisent pas que le chocolat est dérivé d'une plante, comme le sont les fruits et les légumes qu'il est recommandé de consommer pour avoir un coeur en pleine forme » souligne enfin Mary Engler. S'ils sont contenus dans certains fruits et légumes (cassis, myrtilles, épinards, salades, haricots, etc.), ainsi qu'en plus grande quantité dans le thé et le vin, les flavonoïdes sont surtout présents… dans le cacao !
Hélas, lors de la fabrication du chocolat à partir de la fève de cacao, elle-même extraite de la cabosse du cacaoyer, une partie de ces composés est détruite. De plus, les protéines du lait ‘court-circuiteraient' leur action bénéfique sur l'organisme, voilà pourquoi il est préférable de se jeter sur du chocolat noir plutôt que sur du chocolat au lait… Un seul conseil donc : manger régulièrement de petites quantités de chocolat noir à forte teneur en cacao (au moins 70%). Après tout cela, vous reprendrez bien un petit carré ?

 

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Elle court, elle court la rumeur sur les dangers de l’aspartame commercialisé sous le nom de Canderel en France et de Nutrasweet aux Etats-Unis. Cet édulcorant possède deux qualités : il a un pouvoir sucrant 200 fois supérieur au sucre avec un goût très proche de ce dernier et surtout son apport calorique est extrêmement faible. Il est donc utilisé abondamment soit directement par les consommateurs, soucieux de leur ligne, mais aussi dans les sodas « light ».

L’aspartame est découvert en 1965, mais c’est en 1981 que la Food and Drug Administration (FDA- l’autorité sanitaire des Etats-Unis) autorise son usage comme additif alimentaire. En 1996 une étude (Olney et col. Journal of Neuropathology & Neurology 55,n° 11, 1115-1123, novembre 1996) émet l’hypothèse qu’une augmentation du nombre de tumeurs au cerveau serait liée à l’utilisation de l’édulcorant. En effet la dégradation des composés de l’aspartame produirait une substance cancérigène (voir encadré).

Pour la FDA ce problème a déjà été évoqué avant la délivrance de l’autorisation de mise sur le marché. Après la parution de l’étude d’Olney, un examen des registres de l’Institut National du Cancer américain n’a pas permis de conclure à une association entre l’augmentation des cancers du cerveau et l’usage de l’édulcorant.

En effet, selon la FDA, l’incidence des tumeurs du cerveau s’accroît à partir de 1973, se stabilise à partir de 1985 et baisse entre 1991 et 1993, alors qu’il est fait un usage croissant de l’édulcorant. En juin 1997 le Comité scientifique pour l’alimentation de l’Union européenne estime qu’il n’y a pas lieu de ré-examiner la toxicité de l’aspartame. Cette décision se base sur une analyse de l’étude Olney effectuée par le Comité britannique de la Carcinogénicité.

Malgré ces deux mises au point, et d’autres recommandations favorables émisent par l’OMS et diverses sociétés savantes, les rumeurs de toxicité ressurgissent périodiquement notamment sur le Web. La polémique est relancée par le Sunday Express dans son édition du 9 janvier 2000. le journal évoque l’aspartame comme cause de cécité, de sclérose en plaque et de cancer du cerveau. Qui croire ?

L’aspartame est composé de méthanol et de deux acides aminés, la phénylalanine et l’acide aspartique. Ces trois substances sont naturellement présentes dans certains aliments et en quantité plus importante que dans les doses usuellement ingérées d’aspartame.

Il est néanmoins avéré que, sous l’effet de la chaleur l’aspartame se dégrade en dicétopipérazine qui, chauffée elle aussi, forme des produits cancérigènes. En dessous de 105° C la dégradation de l’aspartame est extrêmement faible et du coup le risque cancérigène le semble aussi.

L’aspartame est toutefois contre-indiqué pour les personnes souffrant de phénylcétonurie, c’est à dire d’une incapacité à transformer la phénylalanine présente dans l’édulcorant. Cette rare maladie héréditaire est dépistée systématiquement et les produits contenant de l’aspartame mentionne la présence de l’acide aminé.

Faut-il faire confiance à des rumeurs souvent invérifiable ? Ou bien croire en l’indépendance des autorités sanitaires mondiales et de différents pays ? Doit-on suspecter la main invisible des industriels toujours prompts à protéger ses intérêts financiers et pour cela prête à influencer les autorités sanitaires ? Cela c’est bien vu par le passé. En définitive, la question est : à qui faire confiance ? Et dans le doute l’abstention resterait-elle l’unique solution ... ?

Thomas Leven

 

 

Uùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùù

 

ASPARTAME : UN POISON VIOLENT !

Quel est le point commun entre des milliers de rats sacrifiés, des mensonges, une migraine, une personne obèse, dépressive ou aveugle, un paranoïaque, le groupe Monsanto et des milliers de produits " sans sucre " ? L'aspartame…

Voici donc le meurtrier en série enfin dévoilé, dont nous sommes les victimes en France depuis presque 30 ans et ce, dans le plus grand secret ! Je m'intéresse aux effets secondaires nocifs pour la santé des additifs alimentaires, depuis plus de dix ans mais, pour ce qui est de l'aspartame, ce n'est qu'il y a 18 mois que j'ai découvert la terrible vérité sur ce poison. J'ai alors réalisé que j'avais perdu deux personnes de ma famille, toutes deux grosses consommatrices de produits " sans sucre ". En poursuivant mes recherches, j'ai découvert l'association de bénévoles créée aux Etats-Unis en 1995 par le Dr Betty Martini : Mission Possible International (www.dorway.com) que je représente maintenant en France. Depuis, j'ai d'abord pu aider des personnes par Internet au Canada, en Australie, en Angleterre et aux Etats-Unis. Puis, peu à peu, j'ai rencontré de nombreuses victimes de l'aspartame en France, des personnes innocentes qui souffraient, sans le savoir, de plusieurs des 92 effets secondaires liés à l'aspartame et officiellement reconnus par la FDA (Food and Drug Administration) américaine depuis 1995. Au total, en 18 mois, j'ai rencontré près de 1 200 d'entre elles, âgées entre 3 et 92 ans et, fait inquiétant, dans un seul département du territoire français…

C'est pour cela qu'il y a urgence à faire passer le message !

 

Il y en a partout !

Mais qu'est ce que l'aspartame ? Pour la plupart des gens, c'est tout simplement un édulcorant de synthèse pour remplacer le sucre, que des millions de femmes en surpoids et de diabétiques utilisent dans le monde entier sous forme de poudre ou de sucrettes, il est inutile de vous en citer des marques car vous les connaissez toutes ! Seulement voilà : il n'y en a pas que dans ses fameuses sucrettes ! L'aspartame est aussi présent dans plus de 5 000 produits alimentaires ou pharmaceutiques, dans 90 pays au monde et ce depuis plus de 25 ans… Des millions de Français en consomment tous les jours (adultes et enfants confondus), il y a même au moins une maternité en France où l'on a fait prendre des suppléments de calcium à l'aspartame aux nouvelles mamans afin de favoriser la montée de lait et depuis au moins 25 ans ! Au total, il y aurait au moins 250 millions de personnes dans le monde qui consommeraient chaque jour des produits à l'aspartame ! Et cet édulcorant rapporterait aux industriels mondiaux plus d'un milliard de dollars par an !

Je vous entends déjà me dire : " Mais vous n'y pensez pas ! Si c'est marqué sur les étiquettes, c'est que cela a été testé et autorisé par les autorités, c'est donc sans danger, sinon on le saurait ! Regardez ce qu'il y a marqué sur le dos de mon paquet de chewing-gums sans sucres :
'En complément du brossage, l'Union française pour la santé bucco-dentaire recommande ce chewing-gum sans sucre, qui participe efficacement à la santé bucco-dentaire', alors quel est le problème ? "
.

J'aurais bien envie de vous répondre : " Et si on vous avait menti ? ".

En fait, selon des experts indépendants, l'aspartame est un véritable poison ! Seulement voilà, alors que l'on en parle publiquement depuis plus de vingt ans aux Etats-Unis, le public français lui, a été gardé dans l'ignorance la plus totale depuis 1974. De ce fait, avec certains autres pays d'Europe, nous représentons aujourd'hui les plus gros consommateurs de produits à l'aspartame au monde !

 

De la triste famille des excitotoxines

Comme je le fais souvent remarquer aux personnes que je rencontre, lorsqu'elles font le plein de leur voiture, elles font bien attention au type d'essence qu'il faut mettre dans le réservoir, sinon la voiture aura des problèmes. Pour ce qui est de la nourriture, ces mêmes personnes ne prennent même pas la peine de lire la liste des ingrédients sur les emballages et, sans méfiance, elles remplissent leur estomac d'un cocktail de produits chimiques en toute ignorance, même la voiture n'en voudrait pas ! L'aspartame est un de ces produits chimiques les plus toxiques pour la santé !

L'aspartame (E 951) fait partie de la triste famille des excitotoxines, tout comme le glutamate monosodique (E 621 ou GMS), cousin chimique de l'aspartame largement utilisé depuis au moins 1948 qui lui, est un " poison caméléon " qui se cache sous divers noms tels que : arômes artificiels et parfois naturels, certaines épices, extrait de levure, huile végétale hydrogénée, extrait de protéines de soja, souvent utilisé comme exhausteur de goût dans des chips, des soupes en sachets, des sauces, des plats préparés, de nombreux aliments surgelés et de régime, des bâtonnets de " crabe "… (voir article sur les excitotoxines en page xx). Ces excitotoxines sont neurotoxiques, c'est-à-dire qu'elles ont la triste capacité de détruire rapidement les neurones de notre cerveau (voir dessin) en les excitant jusqu'à ce qu'ils explosent comme l'a expliqué l'éminent neurochirurgien et nutritionniste américain, le Dr Russell Blaylock dans son livre : " Excitotoxins, The Taste that Kills " en 1994 (" Excitotoxines : le goût qui tue "), livre sur l'aspartame et le GMS qui sera peut-être bientôt traduit en français). Mais comme cela se fait peu à peu, au fur et à mesure de notre consommation de produits édulcorés à l'aspartame (boissons, sodas, jus d'orange, yaourts en pots ou encore à boire, gommes à mâcher, sucettes, bonbons divers, édulcorants de table, certains chocolats, produits de régimes, certaines confitures, céréales, suppléments de vitamines, des centaines de médicaments, au total plus de 5 000 produits dont la liste est impossible à faire…), on ne s'en rend pas compte tout de suite car ce véritable poison s'accumule dans notre organisme à notre insu, détruisant notre système immunitaire (au bout de deux heures !) et endommageant notre ADN sur son passage… Ah ! Si on nous l'avait dit !

Mais en réalité, il y a 92 effets secondaires officiellement reconnus depuis 1995 par la FDA aux Etats-Unis. En France, à part un risque de diarrhées, tout va bien ! Un peu comme un " certain nuage " de Tchernobyl qui ne serait pas passé au-dessus de notre beau pays…

Certaines personnes assez sensibles ont de la chance et souffrent très rapidement (dans les minutes ou les heures qui suivent) de maux de tête ou de nausées, après avoir consommé un seul produit contenant de l'aspartame, et comme elles sont à l'écoute de leur corps, elles en déduisent que ces produits ne sont pas bons pour elles. Alors elles savent les éviter. Par contre d'autres personnes, elles, deviennent très rapidement dépendantes de ces produits en pensant éviter les calories et " faire attention à leur ligne " ou au bien-être de leur enfants…

Ces mêmes personnes vont voir leur santé se dégrader plus ou moins rapidement et souffrir d'un ou de plusieurs des nombreux effets secondaires, tout en ignorant complètement que c'est l'aspartame qui est à l'origine de leurs problèmes. Elles iront donc consulter leur médecin ou parfois même leur psychiatre qui, comme elles, n'étant pas forcement au courant de la toxicité de l'aspartame, va prescrire des médicaments qui eux aussi contiennent souvent le même poison… L'effet " boule de neige " commence alors, car l'aspartame interagit avec ces médicaments et les personnes peuvent parfois en mourir après quelques semaines ou quelques années !

 

Quelle est la composition de l'aspartame ?

50 % de phénylalanine, toujours indiquée sur les étiquettes pour les " 2 % " de la population qui pourraient y être allergiques. On peut donc lire en tout petit : " Contient une source de phénylalanine ", de la DKP (dikétopipérazine), produit dérivé de la phénylalanine qui se développe après de longues périodes de stockage et qui a été impliqué dans l'apparition de tumeurs au cerveau, 40 % d'acide aspartique, produit hautement dangereux pour le cerveau : l'espèce humaine est cinq fois plus sensible à cet acide (et à l'acide glutamique trouvé dans le E 621) que les rats et vingt fois plus sensible que les singes ! Cet acide a la mauvaise habitude de s'accumuler dans notre organisme, d'affecter notre cerveau (c'est un neurotoxique), notre système reproductif, il traverse aussi le placenta et peut atteindre le cerveau du fœtus. A forte dose, cet acide peut provoquer des crises d'angoisse, de l'hyperactivité ainsi que des obsessions. Pour finir, les 10 % restants sont constitués de méthanol (ou alcool de bois), un poison mortel qui est graduellement libéré par l'intestin grêle à partir d'une température de 30 degrés lors du stockage, de la cuisson (qui a eu cette idée folle de faire un gâteau à l'aspartame ?), ou tout simplement dans le corps humain ! Ce poison s'accumule petit à petit et provoque en général des troubles de la vue tels que vision embrumée, voilée ou obscurcie, double vision, rétrécissement du champ visuel, dommages rétiniens et perte de la vue…

Les autres symptômes d'un empoisonnement au méthanol sont en général des maux de tête, des bourdonnements d'oreille, des troubles gastro-intestinaux, des faiblesses, vertiges, frissons, trous de mémoire, douleurs fulgurantes aux extrémités, des troubles du comportement et des névrites… Ce méthanol, une fois arrivé dans le foie, est converti en formaldéhyde qui est hautement neurotoxique et cancérigène pouvant provoquer à son tour des troubles de la vue, des malformations congénitales, des migraines, des vertiges, des nausées, des malaises, une mauvaise concentration et empêche aussi l'ADN de se reproduire. Pour terminer, le formaldéhyde, une fois ingéré, se transforme à son tour en acide formique qui se concentre dans le cerveau, les reins et d'autres organes. C'est un produit très dangereux pour les cellules. Pour les connaisseurs, voir le dessin de la structure chimique de l'aspartame.

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Mostafa Ould Elhkim : "Pas de lien entre aspartame et tumeurs du cerveau"

Mostafa Ould Elhkim est toxicologue à l’Agence française de sécurité sanitaire des aliments (Afssa). Il a participé aux travaux de l’Afssa sur l’aspartame. Nous lui avons demandé si les inquiétudes sur l’aspartame sont justifiées

 

Pourquoi selon vous tout ce tumulte autour des dangers de l’aspartame ?

 

Il y a deux raisons à cela : Tout d’abord, une première étude de cancérogenèse chez le rat, publiée en 1973 a montré chez les animaux traités une augmentation d’incidence de tumeurs du cerveau supérieure à celle des animaux témoins. En second lieu, une étude épidémiologique, publiée en 1996, a indiqué une relation possible entre l’augmentation de la fréquence des tumeurs du cerveau chez l’homme et la consommation d’aspartame aux Etats-Unis.

L’analyse de la littérature présentée dans le rapport de l’Afssa (http://www.afssa.fr) démontre que, en prenant en considération l’ensemble des essais réalisés chez les animaux de laboratoire, la fréquence des tumeurs spontanées chez le rat, les types de tumeurs et l’absence de relation dose-effet (relation dose-effet d’une telle importance qu’elle se doit de faire partie intégrante de la définition même de la toxicologie) permettent de conclure en l’absence de potentiel cancérogène de l’aspartame chez les animaux de laboratoire. De plus, les essais de toxicologie génétique, prédictifs d’un éventuel potentiel cancérogène, ont donné  des résultats négatifs.

En outre, les conclusions de cette étude épidémiologique d’Olney (1996) ont été critiquées par de nombreux scientifiques qui ont mis en cause la méthodologie, l’utilisation des données et leur interprétation. Plus récemment même, des études épidémiologiques, citées dans le rapport de l’Afssa, n’ont pas pu établir de relation entre la consommation d’aspartame et la fréquence des tumeurs du cerveau.

En l’état de nos connaissances actuelles, le rapport de l’Afssa conclut donc sur l’absence d’arguments fondés permettant de faire un lien entre la consommation d’aspartame et l’augmentation de l’incidence de tumeurs du cerveau.

 

Les Etats-Unis ont écarté tout lien entre consommation d’aspartame et tumeurs du cerveau. Qu’avez-vous constaté pour la France ?

 

En France, l’aspartame a été autorisé à partir de 1988. Les données d’incidence et de mortalité par cancers du cerveau ont été fournies par le réseau FRANCIM (F. Ménégoz, 2001). Ces cancers regroupent les tumeurs des méninges et les tumeurs du cerveau lui-même. Entre 1980 et 1997, l’incidence (nombre de nouveaux cas apparus chaque année) des tumeurs cérébrales a été relativement stable chez l’homme et en très légère augmentation chez la femme. La tendance à l’augmentation de la mortalité par cancer du cerveau et d’autres parties du système nerveux est ancienne, puisqu’elle est apparue en 1950 et se poursuit jusqu’à nos jours, pour les deux sexes. Toutefois, dans la dernière décennie, la mortalité chez l’homme s’est stabilisée et l’augmentation de mortalité par cancer du cerveau chez la femme a été moins forte que dans la période précédente.

Ainsi sur cette base, les données épidémiologiques des registres des cancers ne permettent pas de donner d’indication définitive sur une éventuelle relation aspartame - tumeurs du cerveau mais elles montrent qu’aujourd’hui la commercialisation de cet additif alimentaire en France ne s’est pas accompagnée d’une augmentation de la fréquence des tumeurs cérébrales ni d’une mortalité accrue liée à cette pathologie dans la population générale.

 

Les personnes qui consomment de l’aspartame risquent-elles des crises d’épilepsie ?

 

Cet aspect a aussi été traité dans le rapport de l’Afssa et entièrement repris par le Comité scientifique de l’alimentation humaine de la Commission européenne. En effet, parmi les réactions secondaires possibles de l’aspartame, les convulsions ont retenu l’attention des toxicologues. La revue de la littérature scientifique disponible nous a conduit à la conclusion que, bien qu’il soit possible que certains individus soient particulièrement sensibles à l’aspartame, les données portant sur un grand nombre de personnes n’ont pas permis d’établir une relation entre la consommation d’aspartame et la survenue de crises convulsives. Ainsi, l’Afssa estime que l’analyse de la littérature met en évidence l’absence d’arguments pour établir un lien de causalité entre aspartame et crises d’épilepsie ou anomalies de l’électroencéphalogramme chez l’homme.

 

 

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Sucre virtuel

L'aspartame produit le même effet que le sucre chez les diabétiques qui s'adonnent à une activité physique

par Jean Hamann

Même si elle n'est pas un sucre, l'aspartame ne met pas les personnes diabétiques qui pratiquent une activité physique à l'abri des variations du taux de glucose sanguin qui peuvent conduire à l'hypoglycémie. En fait, ce produit imite tellement bien le sucre de table qu'il parvient à berner non seulement les papilles gustatives, mais également le système qui contrôle le taux de glucose sanguin (glycémie). C'est ce que démontrent les travaux que l'étudiante-chercheuse Annie Ferland a réalisés avec Paul Poirier, Simone Lemieux, Jean Bergeron, Ginette Turbide, Lison Fournier et Josée Bergeron. L'étude menée par cette équipe sur l'aspartame a fait l'objet d'une présentation le 13 mai lors de la Journée scientifique du Centre de recherche de l'Hôpital Laval.

Les chercheurs savent depuis plusieurs années que, chez les diabétiques de type 2, la pratique d'une activité physique après un repas induit de plus fortes variations de la glycémie qu'une séance d'exercices effectuée à jeun. Dans les deux premières heures qui suivent un repas, la glycémie des diabétiques s'élève - surtout si les aliments consommés sont riches en sucres - et elle redescend rapidement s'il y a activité physique. "Plus la glycémie atteint un niveau élevé, plus les risques subséquents d'hypoglycémie induit par l'exercice augmentent", explique Annie Ferland.

Les aliments qui contiennent des succédanés du sucre comme l'aspartame provoquent-ils eux aussi ces montagnes russes glycémiques? Pour en avoir le coeur net, les chercheurs ont invité dix sujets diabétiques à une séance d'entraînement de 60 minutes sur ergocycle. Cette séance se déroulait à jeun ou deux heures après un repas sucré avec du sucrose (sucre de table) ou de l'aspartame. Même si le contenu calorifique du plat contenant de l'aspartame était 20 % plus faible que celui sucré au sucrose, les deux repas ont provoqué une hausse similaire de la glycémie, suivie par une baisse rapide coïncidant avec le début de la séance d'exercices. De leur côté, les sujets à jeun n'ont pas subi de variations significatives de glycémie. "Nous avons été surpris par nos propres résultats, admet Annie Ferland. Comme l'aspartame n'est pas un sucre et comme le plat contenant de l'aspartame avait un indice glycémique moins élevé, nous ne pensions pas provoquer une réaction similaire au sucrose chez nos sujets."

Le cerveau réagit à un repas contenant de l'aspartame comme s'il s'agissait de sucre, constate l'étudiante-chercheuse de la Faculté de pharmacie. Pourtant, l'aspartame est une petite protéine constituée de deux acides aminés. Il faut de 160 à 220 fois moins d'aspartame que de sucre pour produire un goût sucré équivalent, de sorte que la contribution de cet édulcorant aux calories contenues dans les boissons et les aliments est à peu près nulle. L'une des recommandations nutritionnelles faites aux diabétiques consiste justement à remplacer le sucre par un substitut comme l'aspartame; environ 65 % des diabétiques respectent d'ailleurs cette consigne.

Quelles leçons faut-il tirer de cette étude? "Nos résultats réaffirment l'efficacité de la pratique régulière de l'activité physique comme moyen de contrôle de la glycémie, constate d'abord Annie Ferland. Ils démontrent aussi que la pratique de l'activité physique à jeun ne pose pas de problème pour le contrôle de la glycémie. Pour ce qui est de l'exercice après un repas, les personnes diabétiques doivent savoir que leur glycémie risque de baisser rapidement, surtout si elle est élevée au départ, si l'exercice est vigoureux et si le diabète est sévère. L'important est d'anticiper ce qui peut se produire et de ne pas croire que l'aspartame peut prémunir des variations importantes de glycémie." Les chercheurs ignorent pour l'instant si les autres succédanés du sucre produisent le même effet que l'aspartame chez les sujets diabétiques actifs.

 Sources:Trés ,trés diverses

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